Lutte contre l’insécurité : Des journalistes et communicateurs apportent leurs contributions

Le groupe Presse et Communication a organisé une grande retrouvaille de ses membres, le samedi 18 mars 2023 à Ouagadougou. Il s’est agi de faire une synergie d’actions pour un professionnalisme et une solidarité entre journalistes et communicateurs du Burkina Faso et du reste du monde. Au cours de cette rencontre, des débats ont été menés autour du thème «  Lutte contre la crise sécuritaire au Burkina Faso, rôle des journalistes et communicateurs ».  

Il a d’ailleurs fait savoir que dans le cadre de leurs actions, l’une parmi elle était de porter les sujets et problématiques qui touchent l’avenir du Burkina Faso.

Cependant, il a précisé qu’au vu de leur nombre et de leur diversité, il ne sera pas aisé qu’ils parviennent à aborder des sujets qui puissent plaire aux journalistes et communicateurs qui ne font pas le même travail, mais qui ont l’obligation d’avancer ensemble pour le bien et l’intérêt de tous.

Quant à la rencontre elle-même, elle a été marquée par le développement du thème central par deux panélistes, Idriss Ouédraogo communicateur et Abdoulaye Tao, journaliste à l’Économiste du Faso.

Une initiative louée par Galip Somé, directeur de cabinet du ministre de la Communication, représentant du parrain. « Que des journalistes et communicateurs s’invitent à mener  une réflexion autour de cette question centrale, nous pensons qu’il ne pouvait pas en être autrement. C’est pourquoi le ministre de la Communication de la culture des arts et du Tourisme a tenu à ce que nous venions témoigner tout notre soutien à cette initiative », a-t-il expliqué.

Par ailleurs, il leur a adressé des encouragements et les a sollicités de mener individuellement leur travail dans le professionnalisme. Car selon lui, le message est très bien passé parce que les panélistes l’ont relevé eux-mêmes.

« Nous avons besoin véritablement d’un professionnalisme beaucoup plus affirmé pour permettre à chacun de faire son travail suivant les règles de l’art dans le contexte sécuritaire qui est le nôtre », a terminé Galip Somé.

Micheline Ouédraogo et Mireille ZONGO (stagiaire) 

Pour Burkina 24