Baccalauréat 2025 : Le ministre Aboubacar Savadogo en visite de soutien aux candidats de Fada N’Gourma

En pleine session du Baccalauréat 2025, le ministre de l’Enseignement secondaire, de la Formation professionnelle et technique, Aboubacar Savadogo, s’est rendu le vendredi 27 juin au Lycée Professionnel Régional Yendabli (LPRY) de Fada N’Gourma. Une visite pour constater le bon déroulement des épreuves et encourager les candidats.

Accompagné du gouverneur de la région de l’Est, Ram Joseph Kafando, le ministre en charge de de l’Enseignement secondaire, Aboubacar Savadogo, a fait le tour des trois jurys.

Dans chaque salle, Dr Aboubacar Savadogo a délivré un message à l’endroit des candidats. « Pas de triche, pas de raccourcis. Vous avez travaillé dur pour en arriver là, il faut aller jusqu’au bout avec dignité », a-t-il lancé.

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À l’issue de la visite, le ministre a salué le bon déroulement des examens dans la région. « Depuis le lancement mardi, tout se passe très bien, aussi bien pour les candidats que pour les surveillants et les correcteurs. Tous les acteurs sont mobilisés », a-t-il souligné.

Pour Aboubacar Savadogo, le Bac est bien plus qu’un simple diplôme. « Un enfant qui passe le Bac, c’est au moins 13 ans de sa vie sur les bancs. Ce diplôme sanctionne tout ce parcours. Ce sont eux qui vont devenir les hommes de demain », a-t-il précisé.

Il a également rappelé que les nouveaux bacheliers admis seront orientés vers une « immersion patriotique », en accord avec le décret du 2 mai 2025. Cette initiative vise à « préparer une jeunesse engagée dans la vision de développement portée par le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré ».

Dans une atmosphère studieuse, Lamissa Traoré, candidat en G1 et déjà actif dans la vie professionnelle, s’est montré serein. « Jusqu’ici, tout va bien. Les sujets que nous avons traités étaient abordables. On espère que cela va continuer ainsi jusqu’à la fin. Il faut garder le moral », a-t-il confié peu avant le début de l’épreuve.

Alors que les épreuves écrites s’achèvent, l’espoir est vif à Fada N’Gourma que la région maintienne sa dynamique éducative malgré les défis sécuritaires.

Amadou SOW

Pour Burkina 24