Volley-ball : 48h de formations pour toucher la racine de la discipline à Ouagadougou

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La Fédération burkinabè de Volleyball (FBVB) a refermé les portes de ses 48 heures de remise à niveau de ses entraîneurs de la petite catégorie le dimanche 23 février 2025, à Ouagadougou. Deux jours durant, ces stagiaires ont été outillés sur les bases technico-tactiques et les différentes méthodologies à améliorer chez les plus jeunes volleyeurs.

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Deux grandes zones ont été concernées par ces formations qui se veulent nationales. Après la zone du grand Ouest, la première grande zone concernée, la deuxième, le grand Centre a été servie les 22 et 23 février 2025, par cette initiative de la Fédération burkinabè de Volleyball (FBVB). Ces séances ont regroupé des stagiaires (coach) de la petite catégorie de la discipline venue de Ouagadougou et environnant.

Pour le Vice président de la Fédération Burkinabè du Volley Ball, Nagabila Oumar, l’objectif c’est de donner les rudiments nécessaires pour ces entraîneurs des jeunes. « Aujourd’hui il a été question de formation pour les entraîneurs des jeunes. C’est pour leurs donner les outils nécessaires pour qu’ils puissent bien faire leur travail. Là c’est la session qui a concerné tous ceux qui sont à, et autours de Ouagadougou », a indiqué le vice-président.

Deuxièmement série du genre, le Vice président a souhaité au nom de la FBVB que les résultats soient perçus sur le terrain. « On a divisé le pays en deux grandes zones pour pouvoir toucher le maximum. A l’issu de ces formations nous attendons qu’ils puissent repartir dans leur localités d’origine et mettre en pratique ce qu’ils ont appris. Naturellement, la fédération a déjà mit un dispositif pour suivre ce que les uns et les autres sont en train de faire en lien avec la formation qu’ils ont reçu », a-t-il rassuré.

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C’est un messages reçu du côté des participants. Une initiatives à louer selon plusieurs d’entre eux dont Issiaka Ganamé. « L’initiative est salutaire. Elle était attendue. Il y avait beaucoup d’attente car il y a des besoins que les enfants exprimaient. Mais comme c’était des formations sur le tat qu’on avait, c’était assez difficile. Avec ça on a eu les bagages nécessaires pour redynamiser notre manière de travailler » , a-t-il rassuré.

Abdoul Gani BARRY

Burkina 24

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