Braquage à Bendogo: les éléments d’éclaircissement de la police nationale

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A la suite d’un article publié le 24 fevrier dernier, « OUAGA : un braquage à main armée à BENDOGO fait quatre blessés », Burkina 24 a reçu une correspondance de mise au point de part de la Division de la Communication et des Relations Publiques de la police nationale. Dans cette correspondance que nous publions, la police apporte des éclaircissement, en l’occurrence pour ce qui concerne une mention de la non intervention de la police, malgré un appel de détresse au numéro vert de la police. 

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                                                                                            Le Chef de la Divion de la Communication et des Relations Publiques

A

Monsieur le Directeur de Publication du journal en ligne Burkina 24

Objet :Mise au point.

Monsieur le Directeur de Publication,

Suite à la publication d’un article sur le site de votre journal le lundi 24 février 2014 et intitulé « OUAGA : un braquage à main armée à BENDOGO fait quatre blessés » dans lequel il est mentionné la non intervention de la Police Nationale malgré un appel de détresse émis par la victime sur le numéro vert 17, la Division de la Communication et des Relations Publiques de la Direction Générale de la Police Nationale voudrait  apporter les éclaircissements suivants :

Le lundi 24 février 2014, la Salle d’Informations et de Commandement (SIC), structure en charge de la gestion du numéro vert de la Police Nationale (le 17), a reçu à 3 h16 mns un appel d’un citoyen disant se nommer KOUDOUGOU Lucien.

Il a déclaré que lui et son voisin ont été victimes de braquage au quartier Bendogo de Ouagadougou, non loin de la Boulangerie WendKonta.

Afin d’avoir de plus amples informations sur les faits, l’élément qui a reçu  l’appel a posé certaines questions à l’appelant se disant victime qui a précisé que les malfrats avaient déjà quitté les lieux.

L’élément a aussitôt saisi la Brigade Anti Criminalité (BAC) de Ouagadougou qui sur le champ a effectué une descente sur les lieux et procédé à un ratissage de la zone, mais sans succès. Cet appel de détresse a fait l’objet de la mention N°238 sur la main courante de la SIC. Une fiche additionnelle N°2369 précisant la saisine de la Brigade Anti Criminalité (BAC) a été, comme de coutume, établie.

La Division de la Communication et des Relations Publiques de la Direction Générale de la Police Nationale réaffirme sa volonté de collaborer avec toutes les presses afin de permettre une information juste et saine de l’opinion publique.
Enfin, la Division de la Communication et des Relations Publiques rassure les populations dans leur ensemble,  que la Police Nationale œuvrera toujours à leur côté pour plus de sécurité et de paix dans la cité.

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Rédaction B24

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4 commentaires

  1. La lecture de ces ?l?ments d??claircissements de la police me fait comprendre que le journaliste n’est pas aller v?rifier ses informations avec la police. Cela aurait permis d’apporter la vrai information aux internautes que nous sommes, toute chose qui aurait permis d’?viter des supputations inutiles.
    Merci au service communication de la police pour cette pr?cision. honn?tement la police fait du bon boulot. Il faut ?tre victime de vol ou de braquage pour comprendre. F?licitation dc ? nos flics et chers freres, accompagnons les dans leurs missions quotidienes. Il y va de notre salut

  2. Voici des propos sur Burkina 24 qui sont assez ?loquents, malgr? la note ci-dessous :
    « Il a aussi ?t? question des appels lanc?s par des victimes lors des agressions. En appelant, le 17, certains s??tonnent que la police ne puisse pas effectuer le d?placement pour leur porter secours.

    A cette question, le commissaire adjoint du commissariat central, Bonswend? Sankara dira, que les populations tiennent tr?s souvent des comportements ? travers le 17 qui font que les d?placements sur les lieux d?agressions sont devenus difficiles.

    C?est le cas de certains plaisantins qui appellent, juste pour faire d?placer la police inutilement ou pour prof?rer des injures. Mais, il pr?cisera que tout est mis en ?uvre pour se d?placer chaque fois que des appels se feront de fa?on s?rieuse. » Donc…

    extrait de l’article « Grand banditisme ? Ouaga : Ils ?cumaient Bendogo, Saaba et les secteurs 27, 28, 29 et 30 »

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