Présidentielle : 400 Burkinabè attendent que le nouveau président fasse mieux que Blaise Compaoré

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A l’orée des élections de 2015 et de 2016, le National démocratic institute (NDI) et le Centre de suivi et d’analyse citoyens des politiques publiques (CDCAP) ont mené une étude afin d’appuyer les acteurs du processus électoral au Burkina Faso. Le document a été présenté ce vendredi 8 mai 2015, à Ouagadougou aux différents acteurs au cours d’un atelier.

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Environ 400 personnes attendent que le nouveau président mette en œuvre le programme pour lequel il aura été élu. C’est ce qui ressort du document présenté par le Centre de suivi et d’analyse citoyens des politiques publiques (CDCAP) ce vendredi 8 mai 2015 lors de la rencontre.

 Sur environ 400 personnes interrogées, toutes semblent, selon l’orateur, vouloir voir un changement. «  Forts de l’impact de l’insurrection des 30 et 31 octobre 2014, les citoyens attendent que le nouveau président fasse mieux que le président déchu. Il devra s’entourer d’une équipe gouvernementale rompue à la tâche », peut-on lire dans le document.

Ils souhaitent que ce dernier (nouveau président) respecte strictement la constitution, soit  à l’écoute du peuple et aussi prenne en compte toutes les couches sociales sans exception.

Cette étude a été menée sur un échantillon de « 32 focus groups », avec des groupes de discussion dont la taille a varié entre 11 et 17 participants. L’étude s’est déroulée dans sept (7) régions au Burkina Faso. « Ces sites ont été choisis parce qu’ils sont représentatifs de la diversité socio-culturelle et économique. L’approche méthodologique adoptée pour l’étude est exclusivement qualitative », déclare Siaka Coulibaly, président du conseil d’administration du Centre.

Représentant le ministre l’administration de la décentralisation et de la sécurité, Pierre Bicaba, chargé de mission soutient que « les résultats de cette étude constituent un support sur lequel les acteurs politiques pourraient s’appuyer pour concevoir les projets de société mais également élaborer leur message en réponse aux attentes des citoyens ».

Notons que le document est présenté sur environs 60 pages avec deux chapitres qui traitent,  entre autres, de l’économie, de l’éducation, la corruption, la justice, la santé et la politique. Le document ne fait  pas cas d’interprétation, ni de suggestions.

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