Région de l’Est : 4.993 candidats à la conquête du Baccalauréat 2024

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Le secrétaire général de la région de l’Est, Siaka Ouattara, représentant le Gouverneur, a procédé au lancement officiel des épreuves écrites du Baccalauréat session 2024. C’était le mardi 18 juin 2024 au Lycée Privé Yentema de Fada N’Gourma, où le jury 343 était installé.

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Le top départ pour le début des épreuves écrites du baccalauréat, session de 2024, a été donné ce mardi 18 juin 2024 au Lycée Privé Yentema de Fada N’Gourma, sis au secteur 1 de ladite ville.

Le secrétaire général de la région de l’Est, Siaka Ouattara, représentant le Gouverneur, accompagné des autorités en charge de l’éducation de la région, des FDS, et les corps constitués de la région étaient sur les lieux pour ce lancement officiel.

Les candidats du Bac à Fada

Siaka Ouattara a salué la résilience des parents d’élèves et des candidats. « Grâce aux FDS, nous avons pu tenir cette session dans la quiétude. Aux candidats, je leur demande de rester stoïques. Il faut qu’ils se battent pour qu’on ait de bons résultats malgré le contexte sécuritaire difficile que nous traversons », a-t-il lancé.

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Ils sont au total 4993 candidats, toutes séries confondues, répartis dans 21 jurys dans les centres de composition de Fada N’Gourma, Diapaga, Diabo, Piéla, Bogandé, selon Idrissa Pascal Tiendrébéogo, Directeur Régional des enseignements post primaire et secondaire de la région de l’Est.

Il a en outre précisé que le personnel commis à ces examens est estimé à 812 personnes notamment des surveillants, des correcteurs, des encadreurs pédagogiques, des chefs de centres.

Drissa Pascal TIENDREBEOGO, Directeur Régional des enseignements post-primaire et secondaire de la région de L’est.

Par ailleurs, il a souhaité que les résultats de cette session 2024, soit meilleurs que celle précédente. Même s’il admet que les conditions sont difficiles. « L’année 2023, le taux de succès au baccalauréat était de 35,9 % pour la région. N’oubliez pas que l’Est est assez particulier avec des défis énormes avant même qu’il n’y ait l’insécurité. Il y a des efforts et des sacrifices supplémentaires que les acteurs doivent fournir pour abattre le travail sur le terrain. Mais tout se passe bien », a-t-il indiqué.

Blandine Thiombiano, une candidate libre, s’est dite « confiante et espère que cette deuxième tentative sera la bonne».

Amadou SOW

Correspondant Burkina 24 à Fada N’Gourma

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