Mise en œuvre du Projet CLIM’O/BN : Les acteurs en conclave à Ziniaré

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L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) tient un atelier de consolidation des résultats des études réalisées dans la partie burkinabè du bassin de Mékrou pour la préparation du projet CLIM’O/BN, à Ziniaré, du 11 au 12 janvier 2023. 

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A travers le projet « Nexus Climat-Eau Gestion Intégrée des Ressources en Eau dans le Bassin du Niger (Projet CLIM’O/BN), l’Union Internationale pour la conservation de la nature (UICN) et ses partenaires tentent d’apporter des solutions durables au problème de dégradation environnementale auquel fait face le basin transfrontalier de Mékrou.

Durant la phase préparatoire du projet, deux études sommaires ont été réalisées l’une portant sur la cartographie des acteurs intervenant dans la GIRE et l’autre sur les chaines de valeur agricoles et les solutions innovantes pour améliorer la résilience des communautés riveraines de la partie burkinabè du bassin du Mékrou.

Frédéric Arsène Dayamba, coordinateur suivi régional UICN, représentant le chef de programme Burkina Faso

Les acteurs réunis à Ziniaré veulent faire le point de ces études préliminaires. « Il y a eu une étude sur la cartographie globale. C’est-à-dire, ne pas aller sur le terrain sans connaitre les acteurs. Il s’agit de savoir quel type de population est sur le terrain, qu’est-ce qu’ils ont fait, et qu’est-ce que nous en tant que projet C, nous pouvons ajouter comme activité à ce qui est déjà fait.   

Nous avons aussi mené une étude sur la chaine de valeurs ; ce qui veut dire les ressources utilisées au niveau de ces zones. Ces deux études vont être restituées aux acteurs de la région et les acteurs vont faire ressortir les recommandations, des observations pour nous permettre cibler les activités dont ces acteurs terrains ont besoin pour pouvoir atteindre les objectifs », a indiqué Frédéric Arsène Dayamba, coordinateur suivi régional UICN, représentant le chef de programme Burkina Faso.

Les études permettront de structurer ce projet, selon Issa Sawadogo, consultant régional pour les études CLIM’O. « Ces études vont nous permettre d’orienter nos choix et de nous assurer que les actions que nous allons mener vont être favorables aux populations, répondre à leurs besoins en terme de sécurité alimentaire mais aussi favorable au basin lui-même puisque les actions vont contribuer à la gestion durable des ressources du basin », a-t-il dit.

Toé Siméon, préfet et président de la délégation spéciale de Diapaga

Pour Toé Siméon, président de la délégation spéciale de Diapaga, au nom de la population bénéficiaire, a décliné les avantages liés à ce projet financé par le ministère allemand de l’environnement de bien d’autres partenaires.

« La mise en œuvre de ce projet va booster le développement agrosylvopastoral. Ça fera aussi le bonheur de la population en matière de développement agricole », a-t-il cité.

Akim KY

Burkina 24 

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