CASEM du ministère de la culture : « La déontologie de l’administration publique » passée en revue

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Le ministère de la culture, des arts et du tourisme a tenu son premier Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) du 23 au 24 janvier 2020 à Ouagadougou sous le thème « la déontologie de l’administration publique ». 

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« Pendant deux jours, nous avons examiné et validé le bilan des activités 2019 ainsi que les perspectives 2020 de notre département. Nous nous sommes également soumis à un exercice d’approfondissement de nos connaissances sur le leadership et le management au sein de nos administrations », a relaté le ministre en charge de la culture, Abdoul Karim Sango, à la clôture du CASEM.

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Par ailleurs, il a invité ses collaborateurs à redoubler de dévouement et de professionnalisme dans la réalisation des différentes activités. « Comme des soldats sur le champ de bataille, restons focalisés sur nos objectifs et nos cibles à atteindre », a lancé le premier responsable du ministère en charge de la culture.

Pour Roland Massimbo, directeur régional du Centre-Est du département, le CASEM est un cadre statutaire où les acteurs doivent se concerter sur la marche qu’il faut imprimer à la structure durant une année. A l’écouter, c’était un CASEM réussi. 

Lassina Simporé, Secrétaire général du ministère en charge de la culture
Lassina Simporé, Secrétaire général du ministère en charge de la culture

« Les débats ont été francs. Tous les membres ont eu l’occasion de s’exprimer sur les différentes questions. Le ministère a reconnu un certain nombre d’insuffisances qu’il faut corriger par rapport aux exécutions des activités de l’année dernière. De très bonnes résolutions et recommandations ont été prises pour que le ministère puisse aller de l’avant », a-t-il fait savoir.

Concernant les recommandations, Salfo Ouédraogo, directeur général des études et des statistiques sectorielles, a donné plus de précisions. Au nombre de 8, il s’agit, entre autres, du renforcement des compétences des agents sur les aspects liés à la gestion axée sur les résultats, également, de rendre effectif le dispositif de de gestion de dialogue au niveau du programme budgétaire. 

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En termes de bilan de l’année écoulée, Lassina Simporé, Secrétaire général du ministère en charge de la culture, s’est dit satisfait. Cependant, il est revenu sur l’organisation du cinquantenaire du FESPACO, la tenue de la FILO. 

« C’est l’année où au niveau de l’UNESCO où nous avons été le seul pays africain à inscrire un site sur la liste du patrimoine mondial. Au niveau de l’UNESCO, nous avons été le seul pays retenu pour recevoir un financement à hauteur de 400 000 dollars pour réorganiser le système de collecte d’information au niveau du patrimoine immatériel », a indiqué Lassina Simporé. Ainsi, le programme culture a été exécuté à 77%, celui du tourisme à 52% et le programme pilotage à 64%.

Jules César KABORE

Burkina 24 

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