Etats généraux des lotissements : « Pour que la parcelle cesse d’être un objet de spéculation »
A partir de ce 24 octobre jusqu’au 25 octobre 2013, se tiennent les états généraux des lotissements au Burkina. Il est question de trouver des solutions définitives aux problèmes de lotissements et également de la spéculation foncière.
Ce 24 octobre 2013 s’ouvrent les états généraux sur les lotissements au Burkina sur «les nouvelles pratiques en matière d’aménagement urbain».
Représentants de l’Etat, des collectivités territoriales, des organisations de la société civile, des professionnels de l’habitat et de l’urbanisme, des communautés coutumières et religieuses, des partenaires techniques et financiers et de la presse diagnostiquent le mal des lotissements.
L’objectif de cette rencontre est d’identifier les causes des difficultés et autres problèmes rencontrés dans les lotissements dans les différentes communes du Burkina.
« Que le problème du foncier soit résolu de façon définitive »
Il s’agit également de trouver des solutions à la question du foncier en général. « Nous souhaitons qu’à l’issue des états généraux, le problème du foncier soit résolu de façon définitive au Burkina Faso », a indiqué Yacouba Barry, ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme (MHU) lors d’une cérémonie.
Les Burkinabè prisent l’auto-construction. Mais l’acquisition des parcelles de terre est difficile dans un milieu où sévit sévèrement la spéculation foncière. Pour Yacouba Barry, ces états généraux doivent également permettre d’y remédier « pour que la parcelle cesse d’être un objet de spéculation ».
En rappel, les lotissements ont créé des tensions dans plusieurs communes du Burkina, entraînant leur suspension en 2011.
Abdou ZOURE
Pour Burkina 24
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Esperons que cette fois-ci ce ne seront pas des d?cisions destin?es aux tiroirs.
QUE DES SOLUTIONS IDOINES SOIENT TROUVEES AFIN QUE CEUX QUI EN ONT VRAIMENT BESOIN EN TROUVENT
nous les resortissant on veux investire mais vue de la commercialisation des parcell on se dit souvant que on ne pourras pas mais quand tu fait une demande de parcelle tu n as pas de suite je pense que cette rencontre vas un peut changer a la situation car nous somme aussi des burkinabe
Vraimt je souhaite qu’une solution idoine soit trouv?e a ce problem de parcel. Il ya ceux ou celles qui en possedent des dizaines pendant q le burkinab? moyen ne peut s’en offrir une seule. Pourrait-on fichier ts les attributaires pr eviter ce d?s?kilibr?
le probl?me c ' est pas l' identification des difficult?s li?es au lotissement .Au Burkina tous ceux qui ont l' age de s' interesser aux parcelles peuvent disserter sur ces difficult?s. A notre avis le veritable probl?me c' est l' absence d' une vision nationale en mati?re de defense des droits d' acc?s de tous ? la terre Quand on fait partie de la basse classe c'est parfois miraculeux sinon suspect d' avoir une parcelle tellement celles ci font la convoitise de ceux qui ent ont par dizaine par centaine …mais souvent aussi de ceux qui sont charg?s des lotissements nous voulons parler des maires. DES PROJETS A VOCATION ENVIRONNEMENTAL OU EDUCATIF ne rencontrent que tr?s rarement la sympathie de certains decideurs ( autorit? centrale, maires etc ).Comme quoi c' est l' enrichissement immediat et individuel qui prime le plus souvent au detriment de l' interet communautaire. Quelle tristesse !!!!
Vivement un chez-soi sans palabre
Esp?rons vivement que solutions soient trouv?e surtout pour nous qui vivons en zone non lotie et esp?rant un jour rentrer en possession d'une parcelle, vu les nombreux cas de d?tournement de parcelles et j'en passe!!!
esperons qu’? l’issue de cette rencontre de nouvelles mesures eront prises et faciliteront l’acquisition de parcelle par le fonctionnaire moyen comme nous autres.