Code des Personnes et de la Famille : La FAIB annonce un risque d’adoption d’un texte non consensuel

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Un atelier national de validation de l’avant-projet de loi portant Code des Personnes et de la Famille a eu lieu du 17 au 21 juin 2019 à Koudougou. La Fédération des Associations islamiques du Burkina (FAIB) n’a pas été « impliquée » à cet atelier, selon elle, et déplore cet état de fait sur sa page Facebook.

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La relecture du code des Personnes et de la famille est en cours. C’est par le canal des médias que la Fédération des Associations islamiques du Burkina (FAIB) a été informée.

De ce fait, elle a adressé une correspondance au Ministère en charge de la Justice porteur du projet, avec ampliation au Ministère en charge du culte, pour faire part de sa préoccupation et dénoncer par-là, la démarche estimée non participative du processus de la relecture de ce Code. La FAIB a déploré le fait qu’elle n’ait été « ni impliquée ni consultée ».

« C’est pourquoi elle a attiré l’attention du Ministère sur le risque d’adoption d’un Code non consensuel. Elle espère que les porteurs de cette révision reverront leur démarche pour plus de consensus autour du futur Code des Personnes et de la Famille, objet de toutes les attentions de notre part », lit-on sur sa page.

Par ailleurs, la FAIB dit ne pas être associée à une quelconque pétition liée à un retrait du projet de relecture.

Synthèse de Irmine KINDA

Burkina24

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