Haltérophilie au Burkina : Un concours de force et de muscles le 1er novembre

Une nouvelle compétition de bodybulding débarque au Burkina Faso. Il s’agit du Mister bodybuilding Burkina, une initiative de la société de gardiennage Pyramide service. Le comité d’organisation a animé une conférence de presse pour faire le point de la préparation de la compétition.

Promouvoir le Mister bodybulding au Burkina Faso. Tel est l’objectif que s’est fixé Jacob Tarpaga, gérant de Pyramide service, une société de gardiennage. Pour cela, il lance la première édition du Mister bodybuilding Burkina le 1^er novembre 2021 à la salle du Centre national des arts et du spectacle (CENASA) à Ouagadougou.

« La compétition de bodybuilding se compose principalement d’un entraînement de musculation, de repos, et d’un contrôle strict de l’alimentation avec un apport calorique très important », a expliqué Jacob Tarpaga.

En plus des habitués du bodybulding, le comité d’organisation veut aussi miser sur la relève pour développer le bodybulding au Burkina Faso. Pour cela, les compétitions vont concerner les moins de 20 ans et les moins de 17 ans. Une catégorie est ouverte pour les filles.

Promouvoir le bodylbuilding féminin

« Certains ne le savent pas, mais il y a beaucoup de femmes qui sont dans le bodybuilding. Elles vont pouvoir défiler hors compétition pour montrer leur présence, le temps pour nous de pouvoir préparer également une session féminine », assure Jacob Tarpaga, l’initiateur. Des compétiteurs étrangers prendront également part à cette première édition de Bodybulding Burkina.

Le promoteur a impliqué le triple champion du Burkina Faso en haltérophilie Inoussa Bonkoungou dit K2, triple champion du Burkina Faso. Ce dernier a saisi l’occasion pour lancer un appel : « l’évènement est déjà lancé. C’est ouvert. Tous ceux qui pensent peuvent participer ». Selon lui, une session de formation est prévue pour les différents inscrits.

Le bodybuilding est une discipline et un art de la performance qui consiste principalement à développer sa masse musculaire dans un but esthétique puis à l’exhiber en exécutant des poses plastiques codifiées, isolément ou enchaînées dans une chorégraphie, a rappelé Jacob Tarpaga le promoteur.