Michel Ouédraogo : « Le FESPACO n’est pas hanté, il ne faut pas le diaboliser »
A quelques semaines du FESPACO, le comité national d’organisation a voulu rassurer l’opinion sur l’aspect sécuritaire. Michel Ouédraogo, le délégué général du festival a indiqué lors d’une conférence de presse tenue ce 31 janvier 2013 que tous les moyens sont mis en œuvre pour que cette édition connaisse un succès.
Placée sous le thème : « Cinéma africain et politique publique en Afrique » , cette 23e édition du FESPACO intervient dans un contexte d’insécurité dans la sous région. A ce sujet, Michel Ouédraogo rassure que le Burkina Faso a mis tous les moyens pour assurer la sécurité de tous les participants. En plus, a-t-il poursuivi, le « Pays des hommes intègres » n’est pas classé parmi les pays à risque. La réduction des salles de ciné intervient dans ce ce cadre. Elles seront 7, au lieu de 13, à accueillir en effet les cinéphiles. Ceci pour maîtriser l’afflux du monde et garantir leur sécurité.
Après l’incendie, le plan B
Malgré l’incendie de la salle multifonctionnelle du FESPASO le 12 janvier dernier, le comité reste serein. Une partie des activités prévues au niveau de ce site sera délocalisée à l’Hôtel Azalai. « Nous n’étions pas vraiment sûr que ce bâtiment serait prêt pour cette édition du FESPACO , c’est pourquoi avant même l’accident nous avions pensé à d’autres sites » a déclaré Michel Ouédraogo. S’exprimant sur la rumeur à propos des génies qui seraient la cause de l’incendie, le délégué général du FESPACO est ferme : « Le FESPACO n’est pas hanté ; il ne faut pas le diaboliser ».
Le FESPACO du quota genre
Les femmes occupent une place de choix dans la 23e édition du Festival. En effet, 13 femmes et 14 hommes composeront les différents jury officiels mais ils seront présidés par les femmes. Ceci pour établir un minimum d’équité dans la gestion des affaires par les femmes.
La présente édition connaîtra la participation de la première dame du Gabon, de la Présidente de l’Union africaine et bien d’autres illustres personnalités politique et hommes de culture. Les artistes invités sont entre autres le groupe nigérian Brackets, Magic System et des artistes locaux ,
Aziz BANSE
pour Burkina 24
Nous tenons à vous exprimer notre gratitude pour l'intérêt que vous portez à notre média. Vous pouvez désormais suivre notre chaîne WhatsApp en cliquant sur : Suivre la chaine
Restez connectés pour toutes les dernières informations !
Restez connectés pour toutes les dernières informations !
Si les Ivoiriens ne croient pas en Dieu avec des titres os?s contre l'Eternel? Les s?lectionneurs doivent faire en sorte que les communaut?s religieuses ne se frustent pas sinon DANGER, restons CINEMA, c'est pas g?nial de s'attaquer aux religions et surtout blasph?mer DIEU
si le Fespaco n’est pas « hant? »,elle le sera vu les titres de certains films comme : « et si Dieu n’existait pas ». et Dieu enverra des signaux parce qu’Il existe
Honn?tement les propos de Michel Ou?draogo ne me rassure pas surtout pour les cas de la pr?sence des esprits au FESPACO. les gars nous sommes en AFRIQUE
La s?curit? semble ?tre vraiment garantie pour tous ceux qui veulent venir au FESPACO. Une unit? police antiterroriste vient d’?tre cr??e. Ces hommes ont ?t? tr?s bien form?s avec l’appui des fran?ais.
Personne ne pr?tend que le FESPACO en tant qu’?v?nement est hant?. On dit que les lieux, l’espace dans les environ du marigot Kadiogo pourrait abriter des esprits mauvais. Si vous n’y croyez pas, c’est votre droit. Mais ne racontez pas n’importe quoi. Donnez simplement la parole aux coutumiers qui « administrent » la zone o? aux anciens « PMKlistes » ou ex cadets de l’ECR.
Il n’est pas question ici de diaboliser le FESPACO. La vraie probl?matique est, qu’est-ce qui explique tous ces myst?res autour de la construction de ce b?timent?
jamais rien n'est arriv? au FESPACO surement que des fils ont ?t? mal connect?s sinon comme l'a dis le DG il n'ya pas lieu de diaboliser l'evenement c'est la plus grande fete du cinema jamais organiser dans notre pays ou c'est l'occasion de rencontrer des grands de ce monde alors vive le FESPACO pour les cartes de presse cette ann?e je pense que c'est vite fini parce que moi je n'ai pas pu en avoir je me suis pris trop tard en decembre on m'a fait comprendre que c'est fini.Vive le fespaco et surtout souhaitons que le Burkina aie des prix encore une fois dans cette edition.