Sidwaya, Arba Diallo et le 11-Décembre 2013 : La mise au point de la Direction
Lors de l’hommage fait à Arba Diallo, le 20 décembre 2014, le député Armand Ouali a déploré que le nom du défunt n’ait pas été cité dans le numéro spécial de Sidwaya consacré au 11-Décembre à Dori, en 2013. Le Directeur des Rédactions des Editions Sidwaya, Enok Kindo, a fait une mise au point dont voici la teneur.
Lors de l’hommage rendu au député-maire de Dori, Hama Arba Diallo, le samedi 20 décembre à Ouagadougou, l’ex-député Louis Armand Ouali a pleuré devant une assistance ébaubie.
Cela, sous le prétexte que le journal Sidwaya n’a pas accordé une seule ligne de son Hors série 11-Décembre 2013 à Hama Arba Diallo, l’hôte de la célébration.
Alors, il nous paraît nécessaire de fournir quelques explications afin d’éclairer la lanterne de l’opinion sur cette affaire. Pour l’histoire, sachez que le journal a fait des pieds et des mains pour obtenir un rendez-vous avec Hama Arba Diallo en vain.
L’intéressé a été contacté par le journaliste Gabriel Sama (encore en vie) qui était chargé de conduire l’entretien avec son confrère Souaïbou Nombré (lui aussi en vie), chef de service régional du Sahel (Sidwaya Dori). Après un et unique coup de fil réussi avec feu Hama Arba Diallo, celui-ci a promis de recontacter Sidwaya pour l’entretien parce qu’il venait de rentrer d’un voyage effectué hors du pays.
Ce qui n’a jamais été fait. Les appels de Sidwaya effectués par la suite n’ont pas eu de répondant. Le journal a néanmoins jugé utile de déplacer Gabriel Sama à Dori dans l’espoir de pouvoir réaliser l’entretien. Peine perdue, M. Diallo n’a jamais eu le temps pour cela. Le journaliste, après 72 h de séjour, est revenu brédouille.
La seconde option de Sidwaya a été de confier finalement la réalisation de l’entretien à Souaïbou Nombré, qui est sur place à Dori. Là aussi, ses multiples va-et-vient du côté de la mairie de Dori n’ont rien donné. Que peut faire un journaliste si la source d’information est inaccessible ? Fallait-il écrire dans le hors série, pour dire que le député maire de Dori n’a pas eu le temps pour Sidwaya ? Non.
Le faire pourrait signifier une volonté de ternir l’image de ce grand homme Fallait-il attendre après la célébration du 11-Décembre quand Hama Arba Diallo aurait peut-être le temps pour réaliser l’entretien? A quoi servirait, dans ce cas, cet entretien qui était plutôt prévu pour le spécial 11-Décembre ?
Un journal a un délai de fabrication. Le défunt Hama Arba Diallo ne s’est d’ailleurs pas plaint de n’avoir pas bénéficié d’une ligne de Sidwaya, parce qu’il savait pertinemment qu’il avait été approché par Sidwaya.
Il savait aussi que Sidwaya a été l’unique journal à avoir désigné un journaliste, en l’occurrence Gabriel Sama pour l’accompagner dans tout le Burkina Faso, durant les 21 jours de sa campagne pour l’élection présidentielle de 2010. Tout ceci pour signifier que Sidwaya n’a rien contre feu Hama Arba Diallo.
Il était un homme politique et un père respecté par Sidwaya qui n’a jamais hésité à faire l’écho des activités du regretté papa. Pour plus de détails, nous publions ci-dessous, ce qui était prévu dans le cadre de cette édition spéciale (les différents sujets et les journalistes désignés pour les traiter afin de restituer les faits). Aucune volonté pour nous de rentrer dans une polémique mais tout simplement restituer les faits
Enok KINDO
Directeur des rédactions
Célébration de la fête de l’Indépendance. A l’instar des villes de Fada N’Gourma, Ouahigouya, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Dori va, à son tour, abriter les manifestations officielles de la célébration du 53è anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso.
A travers ce dossier, Sidwaya voudrait faire un éclairage sur la région, mettre en évidence ses différentes potentialités, le rôle et l’apport de ses leaders politiques et économiques dans son développement.
Thèmes
A – Edito : (DG 1page)
B – Réflexion sur le thème : (SG 1page)
C – Gros plan sur le C.N.O (2 pages photos) : un photographe
I/ Historique de la ville de Dori: 4 pages
*Histoire d’une cité : Souaïbou NOMBRE
*Proclamation de l’indépendance vécue à Dori (témoignages des anciens) : Mamadou Ali MAIGA ; Voro KORAHIRE
II/ Potentialités socioéconomiques et culturelles de la région : 8 pages
La parenté à plaisanterie, un atout culturel Privat OUEDRAOGO
.parenté à plaisanterie entre Peulh et Bobo
.parenté à plaisanterie entre Peulh et Yadga
.parenté à plaisanterie entre Gourmantche et Bella
.parenté à plaisanterie entre Sonraï et Gourounsi
– le musée de Oursi (Oursi Houbero) (province de l’Oudalan),
-Les dunes de sable (Oursi et Djomga)
-La tombe mystérieuse de Bamoï
– les mosquées de Bani (province du Seno)
– les collines d’Arbinda (province du Soum)
– Pobe Mengao (statuette de la fécondité) (province du Soum)
– Potentialités économiques du Soum : Abibata WARA et Moumouni TAMBOURA
– Potentialités économiques du Yagha : Ozias KIEMTORE
-Potentialités économiques du Séno: Paténema Omar OUEDRAOGO,
Entretien avec le gouverneur du Sahel : Paténema Omar OUEDRAOGO; Gabriel SAMAIII/ Entretien avec le maire de Dori: 2 pages, pour l’entretien avec le maire de Dori : Gabriel SAMA ; Souaibou NOMBRE
IV. Avenir de la région
– Le ministre délégué à l’alphabétisation, Amadou Diemdioda Dicko, fils de la région : Fatouma Sophie OUATTARA
-L’évêque de Dori : Souaïbou NOMBRE
-Le président de la communauté musulmane de Dori : Mamadou Ali MAIGA
-Le président du Conseil régional des Assemblées de Dieu de Dori : Voro KORAHIRE
-Un député par parti politique représenté dans le Sahel : Souaïbou BARRY
Le président du Conseil régional du Sahel, Abdoulaye Sawadogo : Souaïbou NOMBRE
– le président du Conseil régional de la jeunesse du Sahel : Voro KORAHIRE
-Le coordonateur des Organisations de la société civile (OSC) du Sahel : Privat OUEDRAOGO
-La coordonnatrice communale des organisations féminines du Sahel : Voro KORAHIRE
Deadline 15 novembre 2013
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Eeeh burkinab? vous attendez toujours apr?s la mort de nos h?ros pour reconna?tre leur valeur yakoo..
Curieusement, aucune interviews ne devait concerner les maires du Sahel. Tous les grands acteurs dans la rubrique hommes politiques, ne mentionnent aucun maire m?me si Arba etait aussi d?put?! Je ne pense pas que Arba puisse esquiver la presse d’Etat lors d’un tel ?v?nement!
Ce droit de r?ponse n'est pas appropri?, et ne devrait pas appara?tre comme un proc?s aux morts. Vous ne pouvez rien justifier aujourd'hui parce que l'int?ress? et le concern? est au del?. La seule preuve palpable est qu'aucun num?ro SIDWAYA n'en a consacr? aucune interview au regrett? maire et c'est cela la r?alit
Sauf que vous ?tes hors sujet avec vos g?n?ralit?s que tout le monde connait.Oui la presse publique est pourrie mais nous sommes ici dans un cas pr?cis o? le d?put? aurait du ,comme l a dit Hamadi Ouedraogo,prendre attache avec les ?ditions sidwaya pour plus d infos avant d aller s ?mouvoir en public.C etait le minimum ? faire pour une accusation aussi grave que celle-ci.Il faut toujours se rassurer qu on a la v?rit? avec soi avant de jeter les autres en p?ture.
Depuis insurrection la chacun faif son farot pour avoir poste apres.. les pauvres fallait evoquer ca a son vivant. Nimporte quoi. Tchrrrr
Fini donc la pol?mique,mr Ouali aurait du prendre attache avec les ?ditions sidwaya pour en savoir davantage avant de r?agir.
Mon fr?re le d?put? a raison, vous savez tous probl?mes que nou vivons dans ce pays ce n est pas le r?gime mais plut?t les journalistes de ce pays ils n ont aucune dignit?, ni de patriotisme ils donnent les informations selon le gombo donc rien de v?ridique reprenez le cas de tnb qui regarde ?a encore, quand les voix des sans voix devient les voix des voleurs et des pilleurs, c est eux qui ont accompagn? le compaore et nous amener au kao
Vraiment, laissez le vieux reposer en paix. Le d?put? aurait appeler ou se rendre au journal leur demander le pourquoi.