Mine de Belahourou : La lettre de licenciement notifiée aux travailleurs
Les travailleurs de la Société des mines de Belahourou (SMB) se sont réunis en assemblée générale, vendredi 30 janvier, pour recevoir leur lettre de licenciement. Ces travailleurs sont ceux qui n’ont pas été rappelés par la société à la reprise des travaux. Mais ils ne comptent pas s’arrêter là, ils disent vouloir aller au contentieux pour défendre leurs intérêts.
« Le but de l’assemblée générale était de faire le point aux travailleurs et de voir quelle décision on allait prendre. Vu que le DG est sorti dans la presse dire qu’il récuse le PV et qu’il y a trois cent travailleurs qui sont licenciés. Les travailleurs ont demandé séance tenante qu’un huissier vienne leur notifier leur lettre de licenciement afin qu’ils puissent aller au contentieux.
Alors que nous, on a cru qu’on était dans une médiation, non seulement la médiation prend du temps mais également on constate que le camp d’en face, c’est-à-dire la SMB, n’est pas dans une dynamique de médiation mais il veut foncer dans les mesures qu’il a déjà prises », explique Sinaré Saidou, le délégué du personnel.
L’huissier mandaté pour notifier aux travailleurs leur licenciement a été sommé de venir à l’assemblée avec les lettres de licenciements car disent-ils, «il t’appelle au téléphone, te donne un rendez-vous. Il te notifie ton licenciement et te donne la lettre de licenciement et il repart. Nous ne voulons plus qu’il appelle les gens dans les artères de Ouagadougou pour leur notifier leur licenciement».
Cependant l’ensemble du personnel ne compte pas s’arrêter là, ils s’organiseront, et ces lettres de licenciement seront des documents joints à leur dossier, pour aller en contentieux pour défendre leurs intérêts.
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Je me demande si ya reelment un president au burkina faso pour ecouter tous cela et se taire.c,est une fuite de responsabilite.
Courage aux travailleurs. il fo lutter jusqu’ au bout.Vous aurez gain de cause. Tu travailles avec quelqu’ un qui se fait des milliards,va les distribuer ? des farfelues et malgr? on demande ? toi travailleur d’ accepter de vivre dans la mis?re. Il fo que ?a change. Et quand un burkinab? qui touche 1million demande ? ce qu’ on augmente son salaire, les abrutis du Faso se mettent ? dire qu’ il exag?re. C’ est lui qui sait pourquoi il r?clame ?a. Il faut avoir vecu l’ exp?rience pour comprendre. une multinationale envoie des ghanaens des ivoiriens des burkinab? au niger pour un travail. une fois sur place les employ?s des autres pays sont ?tonn?s car pour eux il n existe pas de comp?tences dans ce domaine au B.F. Pr defier les BF on repartit le boulot par pays. A la surprise g?n?ral les BF ont fait si bien et si vite leur boulot que cela a suscit? une curiosit? dans le pays. Mais au niveau de la paie les BF ?taient pay?s ? 300mille Cfa, les ivoiriens ? 1million, les ghanaens ? 1million100mille Cfa. Parce ce que hormis la prise en charge l? bas; chacun devait percevoir comme ?tant dans son pays. C est la faute ? qui? aux burkinab?. les autres pays n ont pas pu ex?cuter les parties complexes de leur boulot. Et on a demand? au BF qui ont achev? leur boulot. vous voyez ! Heureusement qu’a l’issue de ?a la multinationale a choisi 4 burkinab? sur les 12 qui y ?taient pour les int?grer dans leur groupe m?re et sont devenus internatinaux; ce qui a radicalement changer leur revenu. Donc ne tirons pas les gens vers le bas car ailleurs les gens des m?mes soci?t? sont bien trait?s. Ce que je dis conserne le priv?. Que Dieu aide les burkinab