Journalisme : Le MOJO en deux mots
Qu’est-ce que le mobile journalism (MOJO) ? Quel intérêt pour les médias burkinabè ? Des réponses ont été données à une quinzaine de journalistes du 13 au 17 novembre 2017 par le Réseau d’initiatives des journalistes (RIJ) et la Deutsche Welle Akademie (DWA) à Ouagadougou.
Le MOJO, forme émergente des nouveaux médias, définit Sébastien Martineau, formateur à la DWA, constitue toutes les opportunités qu’un smartphone peut offrir à un journaliste dans l’exercice de son métier. Dans un monde où les internautes s’attardent plus sur les images que sur les textes, poursuit-il, il apparaît important que la pratique journalistique s’adapte.
Au cours de cinq jours de formation, la quinzaine de journalistes participants a pu découvrir ces potentialités que donne le téléphone pour la réalisation et la production de courtes vidéos alliant texte et images pour donner l’essentiel de l’information aux lecteurs.
Plongés dans un contexte de journalisme sensible au conflit (JSC), les journalistes ont traité des sujets liés à l’actualité, occasion pour eux de mettre en pratique (voir vidéo à la Une de cet article) ce qu’ils ont appris de Martineau et Romaine Zidouemba, la deuxième formatrice.
La formation, après la remise d’attestations, a fermé ses rideaux sur la création d’une nouvelle communauté MOJO et la promesse, par le Secrétaire général du RIJ, Oumar Ouédraogo, de la poursuite d’autres actions pour un renforcement continu des capacités des journalistes.
Abdou ZOURE
Burkina24
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