Burkina : The Girl Generation s’implique dans la lutte contre l’excision

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Le Programme The Girl Generation  a tenu une conférence de presse ce vendredi 22 décembre 2017 à Ouagadougou pour commémorer « les 16 Jours D’Activisme » au Burkina Faso. Il s’agissait de demander la contribution des médias pour faire connaitre « les 16 jours d’activisme ». Ces jours ont été miss en exergue pour apporter leurs contributions dans la lutte contre les mutilations génitales féminines.

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The Girl  Generation s’est engagé à œuvrer pour la promotion des droits de la femme et la lutte contre l’excision. Pour l’occasion,

Pour l’occasion, l’opportunité est donnée aux organisations membres du programme de tenir des activités pendant les 16 jours allant du 25 novembre qui est la journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes au 10 décembre consacrant la journée Internationale des Droits de l’Homme. 

Pour Abdrahamane Ouédraogo, chargé de programme de The Girl Generation, les activités des 16 jours d’activisme « sont laissées à la discrétion de toutes les organisations en fonction de leurs capacités humaines et financières, il s’agit d’activités qui  peuvent ne pas coûter 5 F, qui peuvent consister à des activités de communication sur Facebook ».

Selon Usurle Viviane Sanon /Taro chargée, des questions juridiques et des relations avec les acteurs au secrétariat permanant du conseil national de lutte contre l’excision (CNLPE), ce sont « 1 650 femmes qui seront prises en charge dans le cadre du plan stratégique du CNLPE 2016 -2020 ». Elle ajoute que « le taux de prévalence au plan national des femmes victimes de l’excision  est de 67% » et les séquelles d’excision sont prises en charge au sein des formations sanitaires.

Pour Marguerite Ouédraogo, dans la plupart des régions,  les populations continuent de pratiquer l’excision sous prétexte que « c’est un projet de Chantal Compaoré et puisqu’elle n’est plus là, la pratique continue ». Et Ursule Viviane Sanon /Taro d’assurer qu’un accent sera mis sur la sensibilisation, sur l’information et également sur les répressions pour faire comprendre que « ce n’était pas le projet de Chantal Compaoré mais c’était un projet national dans lequel elle s’est beaucoup investie ».

Alice THIOMBIANO (Stagiaire)

Burkina 24

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