Burkinabè et Américains discutent « Gouvernance, démocratie et affaires »
Le Burkina Faso accueille, les 16 et 17 janvier 2018, une conférence internationale sur le thème « Gouvernance, démocratie et affaires ». Ce colloque initié par le Président du Faso est coorganisé par le gouvernement burkinabè, la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina, la chambre de commerce américaine et des partenaires du monde diplomatique et des affaires.
Le « Pays des Hommes intègres » et le « Pays de l’Oncle Sam » sont engagés à renforcer leurs relations d’amitié et de coopération. En témoigne l’organisation notamment de « Burkina Day » à New York en septembre 2017.
Un forum d’affaires américano-burkinabè est annoncé pour quelques mois dans la capitale burkinabè. Mais avant ce forum, les deux pays réfléchissent sur les bons exemples en matière de gouvernance démocratique.
Une conférence internationale sur la gouvernance, la démocratie et les affaires se tiendra du 16 au 17 janvier 2018 à Ouagadougou. Le ministre en charge des affaires étrangères a échangé avec la presse, ce 15 janvier, sur les tenants et les aboutissants de ladite rencontre. La conférence regroupera, selon Alpha Barry, environ 350 participants actifs.
L’opposition politique, la majorité présidentielle, des parlementaires africains, des ministres, la société civile, des hommes d’affaires et probablement des Chefs d’Etat se rencontreront à Ouagadougou. Cinq principaux panels seront animés au cours de la rencontre.
Les panels porteront, entre autres, sur la gouvernance politique et l’inclusion économique en Afrique, la gouvernance collaborative, la réalisation du développement durable grâce à une gouvernance éthique, la lutte contre les menaces sécuritaires, l’inclusion économique et politique grâce aux technologies.
Grosso modo, « c’est une conférence qui vise à savoir comment renforcer la voix des entreprises pour soutenir la démocratie et la gouvernance surtout en Afrique. C’est une organisation entre Burkinabè et Américains », a expliqué le ministre Alpha Barry.
La conférence doit se terminer, dit-il, sur une déclaration dite de Ouagadougou qui agglutinera les différentes recommandations. « Cette déclaration se veut une sorte d’engagement de la part des participants sur les questions de gouvernance, d’affaires, de démocratie, de sécurité, etc. », a-t-il annoncé.
Noufou KINDO
Burkina 24
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