Dossier d’investissement : Des acteurs de la société civile renforcent leurs capacités sur la mobilisation des ressources

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Un atelier sur le renforcement des capacités des acteurs de la société civile sur la mobilisation des ressources pour le financement de la santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, des adolescents et de la nutrition, a été organisé par le Groupe Technique Santé de la Reproduction (GT/SR) et le Réseau de la Société civile pour la Nutrition (RESONUT), ce mercredi 30 septembre 2020 à Ouagadougou.

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Les acteurs de la société civile ont été impliqués dans l’élaboration du dossier d’investissement, relatif à la santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, des adolescents et de la nutrition, et dans la cartographie des interventions. L’atelier qui se tient du 30 septembre au 1er octobre 2020, sera essentiellement axé sur comment mobiliser les ressources pour renforcer la promotion de la santé de la reproduction, et la nutrition et l’état civil.

Avant le début des travaux, le directeur exécutif de SOS Jeunesse et Défis, Harouna Ouédraogo, a fait l’historique du travail de consortium qui existe entre le GT/SR et RESONUT. « Le travail que nous faisons c’est un travail de consortium. Nous (Ndlr, RESONUT et le GT/SR) avons commencé le processus depuis août 2019. Ce sont les deux qui sont récipiendaires de ce projet (Ndlr, dossier d’investissement). SOS Jeunesse et défis se livre pour la gestion de ce projet », a souligné Harouna Ouédraogo.

Il a souhaité qu’au sortir de cet atelier, chacun (Ndlr, les 27 participants issus des ONG et associations) puisse établir un plan de mobilisation des ressources pour son association.

 » Le travail que nous faisons c’est un travail de consortium, Harouna Ouédraogo, Directeur de SOS Jeunesse et Défis.

A sa suite, Lamine Traoré, directeur du partenariat pour le financement de la santé,  chargé de modérer le présent atelier, a salué le travail de fond qui est fait au niveau des associations et ONG qui sont dans la promotion de la santé reproductive et la nutrition.

« Au niveau des communautés, vous faites des choses que nous ne pouvons pas faire. Nous avons des formations sanitaires (….). Mais dans la communauté c’est vous qui partez les informer, communiquer avec eux pour le changement de comportement. Nous sommes donc des partenaires complémentaires (…). Nous sommes entre partenaires sur un domaine particulier qui est la  santé de la reproduction, la santé des jeunes, puisque toutes les études ont montré que lorsque les investissements sont faits à ce niveau, les indicateurs de santé en général s’améliorent ».

Lamine Traoré a laissé entendre que les acteurs de la société  issus des organisations du GTSR, du RESONUT, de la Direction Régionale de la santé et des organisations de la société civile, seront outillés pour les bonnes pratiques pour l’obtention des ressources financières, humaines, matérielles afin de pouvoir mettre en œuvre des différents plans stratégiques qu’ils élaborent et renforcer la santé de la population et savoir accompagner le ministère de la santé dans ses missions de prestations de service de santé. 

En rappel, le dossier d’investissement est selon Harouna Ouédraogo, un référentiel, où les priorités concernant la santé de la mère et de l’enfant, du nouveau-né, de l’adolescent, la nutrition, l’état civil s’y trouvent.

Irmine KINDA

Burkina24

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