Le développement de l’enseignement et la formation technique et professionnel (EFTP) au Burkina Faso de 1965 à 2015 : quels apports du PNUD ?

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Ceci est le résultat d’une étude sur « Le développement de l’enseignement et la formation technique et professionnel (EFTP) au Burkina Faso de 1965 à 2015 : quels apports du PNUD ? » réalisée par KABORÉ Amado, Chargé de recherche de l’Institut des Sciences des Sociétés (INSS)/CNRST, RAMDE Eunoc, Doctorant Université Joseph KI-ZERBO

INTRODUCTION

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Le présent papier de vulgarisation est un extrait d’un article dont le titre est « Aperçu historique de la contribution du PNUD à la promotion de l’enseignement et la formation technique et professionnel (EFTP) au Burkina Faso de 1965 à 2015 publié juin 2021 dans la Revue Science et technique, Revue burkinabè de la recherche Lettres, Sciences sociales et humaines, Ouagadougou, Burkina Faso, volume 37.

En rappel, l’enseignement et la formation technique et professionnel (EFTP) regroupe l’ensemble des voies professionnelles qui mènent à l’acquisition d’une première qualification débouchant sur un emploi (formation pré- professionnelle, professionnelle élémentaire ou professionnalisante et professionnelle post- primaire initiale) ainsi que celles qui permettent le maintien de la qualification ou son amélioration (formation professionnelle continue et perfectionnement). Au regard de cette définition, les missions assignées à l’enseignement et la formation technique et professionnel s’articulent autour des concepts de « formation professionnelle”, « formation technique et professionnelle », « enseignement technique et professionnel »[1].

Selon les résultats de l’EICVM 2009/2010, seulement 4,5% de la population de 16 à 64 ans a bénéficié d’enseignement et de formation technique et professionnel dont 6,3% d’hommes et 3,1% de femmes. Ces chiffres montrent que ce sous-secteur est embryonnaire et marginalisé au sein du système éducatif de manière générale. Par conséquent, la question de la valorisation du capital humain à travers l’Enseignement et la Formation technique et professionnel (EFTP) reste au centre des préoccupations tant au niveau des pouvoirs publics qu’au niveau des partenaires au développement dont le PNUD. Pourtant depuis 1965, le Burkina Faso bénéficie du soutien du PNUD dans le cadre de le coopération technique pour le développement de l’EFTP au Burkina Faso. Le document aborde successivement la méthodologie adoptée, fait une historique de l’évolution de l’EFTP au Burkina Faso et les principales réalisations du PNUD dans l’EFTP au Burkina Faso de 1965 à 2015.

  1. MÉTHODOLOGIE

La méthode appliquée à notre recherche est la méthode descriptive et analytique. Elle consiste d’abord à décrire un phénomène dans le but de transmettre une information précise, complète et exacte. La description doit déboucher sur une explication. Pour ce faire, elle procède de niveaux différents, mais complémentaires. A savoir : l’exploration et l’étude.

Au niveau méthodologique, nous avons fait recours à l’approche qualitative qui s’est appuyée, en grande partie, sur les sources d’archives, sur des informations et données issues d’entrevues et d’enquêtes auprès de personnes ressources, d’analyse de documents grâce à une revue de la littérature.

Les archives ont été consultés au centre national des archives du Burkina (CNAB) ; au ministère de l’éducation nationale de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales (MENAPLN) et sur le site web du bureau international du travail (BIT) : http://staging.ilo.org.

Les enquêtes se sont déroulées dans les deux régions (centre et centre-ouest) couverte par l’étude. Les informateurs étaient essentiellement constitués des instructeurs formés par les projets/programmes et des actuels formateur des centres de formations mises en place par le PNUD.

  1. HISTORIQUE DE L’ÉVOLUTION DE L’EFTP AU BURKINA FASO

Au Burkina Faso à l’instar de plusieurs pays africains la notion de l’EFTP couvre plusieurs champs d’action, à savoir :

  • l’enseignement secondaire et supérieur technique et professionnel, dispensé dans les lycées et collèges, les universités et les grandes écoles technique et professionnel ;
  • les formations aux professions, dispensées dans les écoles et centres spécialisés ;
  • les formations pré- professionnelle, professionnelle élémentaire et professionnelle post primaire, de caractère non formel, dispensées dans les centres de formation professionnelle, les centres d’apprentissage publics et privés et les structures d’éducation de base non formelle ;
  • la formation continue des travailleurs en exercice en vue de leur promotion, requalification, et aussi de l’amélioration de leur productivité.

Malgré cette structuration, l’enseignement technique n’est développé au Burkina Faso et est fortement dominé par le secteur privé qui est très coûté. Le premier établissement d’enseignement technique public fut créé en 1962. Etant un collège, il fut transformé en lycée technique en 1964 avec l’introduction d’un second cycle. Au cours de la rentrée scolaire 1968-1969, le Burkina Faso comptait deux établissements dans le public, dont un de premier cycle et le lycée technique de Ouagadougou (LTO). De 1962 à 2000, seulement neuf (9) établissements ont été construits dans le public.

Par contre, au niveau du secteur privé pendant la rentrée scolaire 1968-1969 le Burkina Faso comptait onze (11) établissements dont dix (10) collèges et un lycée. En 1999, le nombre d’établissement atteignit quarante-deux (42).

L’augmentation des établissements a entrainé une évolution des élèves. De 1955 élèves en 1990, ils sont au nombre de 29 989 en 2015. Mais, il reste toujours largement inférieur aux effectifs de l’enseignement général.

Les établissements techniques et professionnels n’étaient pas représentatifs sur l’étendue du territoire national. Sur les treize (13) régions, quatre (4) ne possédaient pas de lycées techniques et/ou professionnels publics (Cascades, Centre-Est, Centre-Sud et Sahel). Sur les quarante-cinq (45) provinces, seulement quatorze (14) possédaient un collège d’enseignement technique et de formation professionnelle (CETFP) publique soit une couverture de 31%[2].

A cela s’ajoute un déficit d’enseignants dans certaines spécialités (fabrication mécanique, structure métallique, mécanique générale, maintenance de véhicules automobiles, économie et organisation des entreprises, etc.). En vue de remédier à ces déficits, le Burkina Faso a sollicité l’accompagnement des partenaires techniques et financiers dont le PNUD depuis 1965.

  1. QUELQUES REALISATIONS DU PNUD POUR LA PROMOTION DE L’EFTP DE 1965 A 2015

  • Le projet de formation professionnelle des artisans ruraux de service

Le gouvernement du Burkina Faso en vue de promouvoir l’artisanat rural créa en 1967 un Centre de Formation Professionnelle Rapide des Artisans Ruraux (CFPRAR) à Ouagadougou (OIT, 1977, p.1). Avec l’assistance du PNUD et de l’Organisation Internationale du Travail (OIT), le gouvernement avait déjà lancé en 1969 au CFPRAR un programme de formation artisanale rurale adapté aux besoins des environs de la capitale. Au titre de ces activités antérieures, le PNUD et l’OIT avaient déjà fourni non seulement un service d’experts et de consultants dans les domaines de la serrurerie, de la charpente et de la mécanique mais aussi du matériel et des fonds nécessaires pour couvrir les frais divers (DORSINVILLE M.H., octobre 1970, p. 24). Cette assistance, considérée comme une phase exploratoire, a permis de mettre en place le centre pilote de Ouagadougou, d’éprouver les programmes et d’inventorier les possibilités d’action (OIT, 1974, p.1). Le gouvernement burkinabè, après la phase pilote, sollicita l’accompagnement du PNUD pour en faire un projet national en 1970 (OIT, 1977). Il fut dénommé : « Le projet de formation professionnelle des artisans ruraux de service ». Le projet avait pour but : le développement de la culture attelée par la fabrication et l’entretien de tout matériel de culture ; la construction et l’entretien des infrastructures techniques rurales. Deux principales activités étaient au programme :

  • le recrutement et la formation du personnel national dont les élèves instructeurs. Ils étaient au nombre de quatorze (14) candidats dont quatre (4) en menuiserie, six (6) en forge et quatre (4) en maçonnerie (OIT, 1977). La formation se déroula dans le cadre de stages spécifiques de formation (menuiserie, forge et maçonnerie). En outre, cette formation a été complétée par des bourses à l’étranger. Deux (2) bourses en France pour le codirecteur et le conseiller en artisanat et neuf (9) bourses pour les instructeurs.
  • Le recrutement et à la formation des stagiaires dans les sections de formation (OIT, 1977). Le système de formation était basé sur des stages de perfectionnement. Ces stages concernaient certaines spécialités telles que la forge, la menuiserie et la maçonnerie (OIT 1977, 12). La photo n°1 présente des artisans ruraux montant une charrue.

Photo n°1 : des artisans stagiaires du Centre de formation professionnelle d’artisans ruraux de Ouagadougou terminent le montage d’une charrue.

Source : DORSINVILLE M.H., p. 27.

      A travers la photo ci-dessus, nous percevons des artisans en train de finaliser le montage d’une charrue. Ce projet, à travers ses réalisations, dénote la portée de l’action du PNUD. L’introduction et la vulgarisation de la charrue au Burkina Faso ont contribué à révolutionner le système agricole.

Le projet a favorisé la création de deux centres de formation professionnelle. Ces deux centres ont été les premiers centres de formation aux métiers initiés par le gouvernement. De nos jours, les deux centres sont rattachés à l’agence nationale de promotion de l’emploi (ANPE) et sont devenus des centres régionaux de formation professionnelle. Ils constituent le volet formation de cette agence[3]. Le fonctionnement des centres évolua car ils initient les jeunes aux différents métiers au lieu du perfectionnement qui était son domaine de prédilection. Les centres accueillent les jeunes de niveau CEP, BEPC et des bacheliers[4]. Le perfectionnement se fait uniquement sous forme modulaire à la demande des artisans[5]. Notons que les chefs de centre de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso qui sont respectivement Telesphore Tiendrebeogo et Emmanuel Korgo ont été formés dans le cadre de la formation des formateurs du projet initié par le PNUD.

  • Le projet de formation et de renforcement des maîtres de l’enseignement technique secondaire (UPV 71/010 et UPV 73/005)

Le gouvernement, en vue de renforcer l’enseignement technique secondaire du lycée technique, sollicita l’assistance du PNUD en novembre 1971. Le PNUD répondit favorablement en mettant en place le projet de « formation et de renforcement des maîtres de l’enseignement technique secondaire ».

Le projet s’est déroulé en deux phases. La première phase dite préparatoire a été menée de 1971 à 1972. Elle consista à l’envoi d’une mission d’assistance préparatoire au Burkina Faso de trois (3) experts. Cette première phase d’assistance permit, d’une part,  d’orienter et de structurer l’enseignement technique en fonction des besoins du pays, d’autre part, d’élaborer de nouvelles méthodes pédagogiques dans les domaines de la mécanique, de l’électrotechnique et des mathématiques.

La deuxième phase du projet UPV 73/005 débuta en octobre 1973 et se termina en juin 1976. Il se justifiait par l’absence d’enseignants burkinabè qualifiés dans les spécialités industrielles (mécanique et électricité) ainsi qu’en mathématique. Le projet avait pour objectif la formation des enseignants du premier cycle de l’enseignement technique de l’école normale de l’enseignement technique (ENET). La mise en œuvre du projet nécessita le recrutement d’experts internationaux et d’un personnel de contrepartie composé de nationaux.

  • L’élaboration de programmes d’enseignement 

Les acteurs du projet ont élaboré des programmes de cours permettant d’obtenir le CAET1. Ces programmes concernaient la mécanique générale et l’électrotechnique. Ils ont été soumis aux autorités compétentes en vue d’établir les bases pédagogiques nécessaires à la reconnaissance de la formation donnée au sein du projet. Grâce à ces programmes, les professeurs qui étaient formés à l’école normale de l’enseignement technique furent classés dans la catégorie A2 de la fonction publique au lieu de B1 précédemment, donc à un niveau supérieur (DETHYE L., 1976, p. 7). Après l’élaboration du programme, les acteurs du projet procédèrent à la formation des professeurs de l’enseignement technique.

  • La formation des professeurs de l’enseignement technique du 1er

La formation s’est étalée sur deux ans. La première année fut destinée au perfectionnement technique et scientifique, la seconde année réservée à la formation psychopédagogique. A la fin du projet, deux promotions ont été formées. En plus de la formation dispensée à l’ENET, le projet a apporté son appui à la section mathématique de l’Université de Ouagadougou (DETHYE L., 1976, p. 7.) (actuelle Université Joseph Ki-Zerbo).

A la demande du gouvernement burkinabè, l’expert en mathématique a, dès la rentrée d’octobre 1973 et en plus de son travail de formation en mathématique des élèves professeurs, donné son appui à l’Institut Supérieur Polytechnique de Ouagadougou (ISPO). C’était un département de l’Université de Ouagadougou. Il fut le premier centre de formation en mathématique et sciences physiques du Burkina Faso car l’Université ne possédait jusqu’en 1972 qu’un département de lettres et de sciences économiques (DETHYE L., 1976, p. 6.).

  • Le projet de formation hôtelière et touristique

C’est un projet qui avait deux principaux objectifs. Le premier était de mettre en place les moyens nécessaires à la mise en œuvre, à court terme, d’actions de perfectionnement pour le personnel œuvrant dans le domaine de l’hôtellerie. Le deuxième était de satisfaire les besoins immédiats de formation pour les spécialisations principales de l’hôtellerie, de la restauration et du tourisme (OIT, 1991, p. 3.). Pour l’atteinte de ces objectifs, un personnel international (constitué d’expert en hébergement, tourisme et restauration) et national (directeur national, instructeur en hébergement, restauration et tourisme) a été recruté. Cependant, le personnel national a été recruté avec quatre (4) mois de retard (OIT, 1991, p annexe 1 à 2). Ce retard imputable au gouvernement burkinabè a eu des conséquences néfastes sur le déroulement du projet. Le personnel a pu réaliser les activités suivantes : la formation du directeur national ; l’étude de faisabilité du centre de formation ; la formation des instructeurs ; le perfectionnement des employés d’hôtels et tourismes ; l’élaboration de supports pédagogiques nécessaires à la mise en œuvre des cours prévus.

  • Le projet de formation à la maintenance et à la réparation des machines de bureau

Le projet de formation à la maintenance et à la réparation des machines de bureau a été initié en 1989 avec le soutien du PNUD. Aucune assistance de ce genre n’avait été fournie au gouvernement du Burkina Faso dans ce domaine (BIT et PNUD, 1994, p. 1).

Le projet avait pour objectif immédiat la mise en place d’une structure opérationnelle pour la formation et le perfectionnement des spécialistes en entretien et en réparation des machines de bureau, d’une part, et la formation des réparateurs qualifiés, perfectionnement d’artisans et d’ouvriers réparateurs, d’autre part.

Le projet a fourni du matériel pour la mise en place de la structure permanente de formation et de perfectionnement des réparateurs. Elle consistait surtout à l’aménagement et à l’équipement des locaux qui devaient abriter le projet situés à Cissin au secteur n°16 de Ouagadougou (BIT et PNUD, 1994, p. 4). Il favorisa l’exécution des activités du projet telles que : la formation des formateurs ; la formation des réparateurs qualifiés, le perfectionnement d’artisans et d’ouvriers réparateurs. Les formations se sont déroulées au Burkina Faso et en France.

Le PNUD à travers le projet de formation à la maintenance et à la réparation des machines de bureau favorisa la création du centre de formation en maintenance informatique et machines de bureau. Il fut le premier centre en la matière au Burkina Faso. A ses débuts, le centre recevait, en majorité, des agents de l’Etat et des particuliers. Actuellement, il est ouvert aux jeunes ayant le niveau de la classe de 3ème. La formation dure deux (2) ans et le centre met par an sur le marché de l’emploi vingt-cinq (25) jeunes diplômés. Le centre est une référence dans la sous-région dans la formation en maintenance des photocopieuses car il est seul à avoir un formateur en la matière en la personne de Mamadou Zongo (formateur formé dans le cadre dudit projet en 1990), affirme Yvonne SORY/PARCOUDA enquête orale du 05/06/2019 à Ouagadougou

CONCLUSION

Le Burkina Faso, depuis son accession à l’indépendance, présente un niveau de développement très bas au niveau de l’EFTP. Pourtant, le pays a bénéficié du soutien du PNUD. En vue de comprendre l’impact de la contribution du PNUD, l’étude fut orientée sur : « L’Aperçu historique de la contribution du PNUD à la promotion de l’enseignement et la formation technique et professionnel (EFTP) au Burkina Faso de 1965 à 2015 ».

Le PNUD depuis 1965, a initié plusieurs projets/programmes qui ont permis la création des centres de formations à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso. Ces différents centres furent les premiers dans les différentes spécialités au Burkina Faso. Pour la mise en place des centres de formations, les formateurs ont suivi plusieurs stages à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Les différents centres de formation ont connu plusieurs difficultés au terme des différents projets/programmes. En effet, les objectifs assignés n’ont pas été atteint. L’Etat burkinabé n’a pu respecter ses engagements à temps d’où le manque de spécialistes pour la formation. Si l’enseignement et la formation technique et professionnel est toujours dans un état embryonnaire cela est imputable aux déficits constatés dans l’exécution des projets/programmes.

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Assemblée nationale, 2017, Rapport d’enquête parlementaire sur le système d’enseignement au Burkina Faso, Ouagadougou, Assemblée nationale, 106 pages.

BIT et PNUD, 26 janvier 1994, Formation à la maintenance et à la réparation des machines de bureau : résultats du projet et recommandations, Genève, BIT, 33 pages.

DETHYE L., 1976, Formation et renforcement des maîtres de l’enseignement technique secondaire, Ouagadougou, PNUD, 39 pages.

DORSINVILLE M.H. octobre 1970, La Haute-Volta et le Programme des Nations Unies pour le Développement, Ouagadougou, PNUD, 50 pages.

DP11990/22 : incitations et autres paiements supplémentaires aux fonctionnaires nationaux.

HOFFMAN P., 1971, « Le Programme des Nations Unies pour le Développement » In Tiers-Monde, tome 12, n°46, pp. 267-278.

GARANE M. 1992, Le PNUD et la mise en œuvre de la politique des dimensions nouvelles de la coopération technique, thèse, faculté de droit et de science politique, Université de Paris-nord, 404 pages.

OIT, 1991, Formation hôtelière et touristique, Genève OIT, 38 pages.

OIT, 1975, La formation professionnelle des artisans ruraux de service, Genève, OIT, 55 pages.

OIT, 1974, La formation professionnelle des artisans ruraux de service, Genève, OIT, 43 pages.

RAMDE Eunoc,  KABORE Amado et SORGHO/ZINSONE Félicité Marie L. (2021). Aperçu historique de la contribution du PNUD à la promotion de l’enseignement et la formation technique et professionnel (EFTP) au Burkina Faso de 1965 à 2015, in Revue Science et technique, Revue burkinabè de la recherche Lettres, Sciences sociales et humaines, Ouagadougou, Burkina Faso, Vol. 37, n° 1 – Janvier – Juin 2021, ISSN 1011-6028 (Papier.), PP.114-128

[1]Gouvernement du Burkina Faso, 2008, politique nationale d’enseignement et de formation techniques et professionnels, Ouagadougou, p.6.

[2]Assemblée nationale, 2017, Rapport d’enquête parlementaire sur le système d’enseignement au Burkina Faso, Ouagadougou, Assemblée nationale, p. 13.

[3]Oussaïni KONATE enquête orale du 05/06/2019 à Ouagadougou.

[4]Telesphore TIENDREBEOGO enquête orale 05/06/2019 à Ouagadougou.

[5]Ibidem.

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