Logiciels libres : Les acteurs mutualisent leurs expériences

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Le lancement de la 3e édition du Forum national sur l’open source (FNOS) a eu lieu le 28 décembre 2021 à Ouagadougou. Pour cette 3e édition, le thème retenu est « Retour d’expériences sur l’utilisation des logiciels libres ». Plusieurs acteurs de l’écosystème numérique du Burkina y étaient en ligne et en présentiel dont des Directeurs des services informatiques de l’administration publique et du secteur privé, enseignants-chercheurs, étudiants, etc. 

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Le Forum national sur l’open source (FNOS) est un cadre d’échange pour la promotion et l’appropriation des logiciels libres. Faciliter les discussions sur les défis et les opportunités pour l’expansion de l’open source au Burkina Faso, est donc son objectif principal.

Roch Omar Bougouma, Directeur général des technologies de l’information et de la communication (DGTIC) représentant le Secrétaire Général du ministère de la Transition digitale, des postes et des communications électroniques, s’est dit ravi de la tenue de cette 3e édition du FNOS. Par ailleurs, il a laissé entendre que ce cadre d’échange permettra aux acteurs de l’écosystème numérique, d’ici et d’ailleurs, de garantir progressivement et en très bonne intelligence pour une souveraineté numérique pour le Burkina Faso.

Tout en qualifiant le FNOS comme un rendez-vous du « donner et du recevoir » autour des logiciels libres, Tontama Charles Millogo, Président de l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes, par ailleurs parrain de cette édition, a confié que ledit forum aidera les participants à échanger sur les tenants et les aboutissants des logiciels libres.

« Il s’agit pour les enseignants, les chercheurs et leurs étudiants, les associations œuvrant en faveur des logiciels libres, de marquer un arrêt et de s’interroger sur la place des logiciels libres dans notre écosystème numérique du Burkina », a-t-il ajouté.

Il a décrit cette session, comme une école qui servira aux participants d’implémenter chacun dans sa structure, une solution à base de logiciels libres. En plus, il a recommandé aux uns et aux autres à consommer ce que nous produisons, car dit-il, cela y va de l’indépendance numérique.

« Comme vous le savez, la souveraineté numérique d’une nation repose sur sa capacité à produire et stocker ce dont elle a besoin, et à consommer ce qu’elle produit. Le domaine des logiciels libres n’échappe pas à cette règle », a terminé Tontama Charles Millogo.

Aminata Catherine SANOU (Stagiaire)

Burkina 24 

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