« Les opinions que nous entendons ne nous empêcheront pas de continuer notre engagement » (Zéphirin Diabré)

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Le président de l’Union pour le Progrès et le Changement (UPC), Zéphirin Diabré, a été en visite de courtoisie et de travail au siège du Mouvement Agir ensemble, ce vendredi 13 mai 2022 à Ouagadougou.

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Le président de l’Union pour le Progrès et le Changement, Zéphirin Diabré, a été reçu au siège du Mouvement Agir ensemble ce vendredi matin. L’objectif est d’échanger sur la vie de la nation burkinabè mais aussi d’interroger la contribution des partis politiques à l’amélioration de la situation sécuritaire.

« Les opinions que nous entendons ne nous empêcheront pas de continuer notre engagement »

« Nous sommes des acteurs qui sont engagés dans le sacerdoce de représenter les populations pour certains depuis des décennies. Quel que soit ce que l’on puisse penser, les opinions que nous entendons ne nous empêcheront pas de continuer notre engagement.

Un engagement non pas pour nous-mêmes, non pas pour nos intérêts personnels, mais pour un engagement pour le pays, pour le Burkina Faso qui est une cause commune pour nous. A ce niveau, notre souhait est que nous puissions trouver la formule qui permettra à un certain nombre d’acteurs politiques y compris le mouvement Agir ensemble d’apporter notre contribution de qualité à la gestion de notre pays », a exprimé Zéphirin Diabré.

« Convaincu qu’en matière de politique on ne gagne jamais le combat seul », Zéphirin Diabré prône une coopération pour une mutualisation des actions dans l’objectif de sortir le Burkina Faso de l’ornière.

« L’émergence d’un Burkina nouveau débarrassé de l’insécurité »

Pour Boubacar Diallo, le président du Mouvement Agir Ensemble, la mutualisation des efforts pour le retour de la paix au Burkina Faso est importante. « Nous sommes de cœur avec toute idée qui va dans le sens de faire reculer le terrorisme au Burkina Faso », a-t-il fait savoir.

Boubacar Diallo, président du Mouvement Agir ensemble

Et dit-il, la classe politique ne doit pas rester en marge de la marche de la nation. Il sied donc pour les partis politiques de redéfinir les modalités de leur contribution à « l’émergence d’un Burkina nouveau débarrassé de l’insécurité, de la mauvaise nouvelle gouvernance ».

Pour le président du Mouvement Agir ensemble, « la base de coopération qui est une base d’échange entre partis politiques doit être revue de façon plus approfondie ».

Akim KY

Burkina 24

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