Conseil présidentiel pour l’investissement : Booster les PME

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Il s’est ouvert à Ouagadougou ce matin du 7 novembre 2013, la quatrième session du Conseil présidentiel pour l‘investissement (CPI). Sous la présidence de Blaise Compaoré, Président du Faso, cette rencontre réunit des investisseurs venus de part le monde. Ces avertis du monde des affaires se pencheront sur un segment particulier des structures de financement de la petite et moyenne entreprise (PME) d’une part, et les espaces physiques d’opération et d’exploitation des entreprises, d’autre part.

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Le CPI explore les voies et moyens pour améliorer le climat des affaires des PME (Ph : DR)
Le CPI explore les voies et moyens pour améliorer le climat des affaires des PME (Ph : DR)

La quatrième session du Conseil présidentiel pour l’investissement (CPI) s’est ouverte à la salle polyvalente de la présidence du Faso à Ouagadougou, ce 7 novembre 2013.

Des membres de ce conseil et des invités présents ont au cours de la journée de travail eu à se pencher sur un segment particulier des structures de financement de la PME d’une part, et les espaces physiques d’opération et d’exploitation des entreprises, d’autre part.

Le président du Faso, Blaise Compaoré, a confié au cours de la cérémonie que la tenue de ce conseil « fait partie des priorités majeures du gouvernement burkinabè dans sa quête de performance des stratégies de développement ».

Des pistes

Ce sérieux a été relevé par le représentant de la Banque mondiale au Burkina Faso, Madani Tall, pour qui «  le CPI existe dans beaucoup de pays mais il est rarement tenu avec autant de régularité ». Ce dernier a du reste relevé l’amélioration du climat de l’investissement au Burkina Faso.

Il a aussi apprécié les reformes entreprises tout en suggérant de donner un « second souffle aux reformes de l’environnement des affaires ».

 Pour ce faire, les pistes sur lesquelles il faut se tourner sont, a-t-il proposé, entre autres, la poursuite des efforts pour l’harmonisation des règles de l’OHADA, la modernisation du système de gestion de permis et de licences accordés aux PME, l’accélération du processus de passation des marchés.

Toute chose qui encouragera la mise en place de PME et d’attirer davantage d’investisseurs au Burkina Faso.

Dofini BANLO (Collaborateur)

Pour Burkina 24 

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Rédaction B24

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Un commentaire

  1. De quels investissement on parle? Il n'y aura aucun bon investisseur tant que la question de Blaise COMPAORE ou de l'apr?s lui n'est pas d?finitivement tranch?. Pourquoi BLAISE COMPAORE nourrit t'il se floue? un bon investisseur veut avoir l'assurance qu'il n'investis pas dans un pays ? risque et ce silence de Blaise n' arrange personne.( Lire le rapport de the international crese group)

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