Arrondissement 5 de Ouaga : Les conseillers UPC dénoncent la gestion de la mairie
Les neuf conseillers municipaux de l’Union pour le progrès et le changement (UPC) ont claqué la porte de la session du conseil municipal de la mairie de l’arrondissement 5 de Ouagadougou, le 25 mars 2014. Ils dénoncent la manière dont la mairie est gérée et surtout, le comportement du conseiller Assibo Ouédraogo, transfuge de l’UPC.
Lors d’un point de presse ce 26 mars 2014 au siège de l’UPC, neuf conseillers municipaux de ce parti ont exprimé leur ras-le-bol par rapport au climat dit « délétère » qui règne au sein du Conseil municipal de l’arrondissement 5 de Ouagadougou.
Georgette Naniogo, porte-parole des conseillers municipaux, a informé qu’elle et ses collègues ont claqué, pour la deuxième fois (la première est intervenue en novembre 2013), la porte de la session du conseil le 25 mars 2014.
Ils dénoncent la manière dont la mairie est gérée. Malgré la participation des conseillers aux sessions, « nous avons malheureusement constaté que le maire nous marginalisait », a relevé Georgette Naniogo.
Cela se traduit par la non association des conseillers à des visites de travail dans les secteurs et le transfert des dossiers de lotissement aux autres arrondissements sans les informer. « Sans doute parce qu’il y a quelque chose à cacher », soupçonne Georgette Naniogo.
Mais l’autre source d’exaspération des conseillers municipaux UPC, c’est le conseiller Assibo Ouédraogo. Pour rappel, ce dernier, élu sous la bannière de l’UPC aux dernières élections municipales, a changé de casquette pour le CDP (Congrès pour la démocratie et le progrès). Il est depuis février 2014 exclu de l’UPC.
« Raisonner » Assibo Ouédraogo
Georgette Naniogo et ses collègues accusent leur ancien camarade, traité aujourd’hui de « traitre » et de «Judas », de proférer, selon les termes de Georgette Naniogo, des « propos diffamatoires » à leur encontre et qui empêchent « les conseillers de travailler en toute quiétude ».
Les conseillers UPC disent avoir approché le maire de l’arrondissement pour lui poser le problème. Mais ce dernier leur aurait confié que Assibo Ouédraogo n’était pas du CDP.
D’où l’interrogation de Georgette Naniogo : « S’il n’est ni du CDP, ni de l’UPC, ni d’ailleurs, sa présence au conseil n’est pas justifiée. A notre connaissance, il n’existe pas de candidature indépendante aux élections municipales ».
Les conseillers UPC ont donc interpellé leur autorité de tutelle sur cette situation qui tombe dans un vide juridique, aucun texte, selon eux, n’ayant prévu ce type de situation.
Pour le reste, ils en appellent à la responsabilité du maire de l’arrondissement afin qu’il travaille à la cohésion et à la bonne collaboration au sein du conseil municipal, notamment en « faisant raisonner » Assibo Ouédraogo.
Le cas échéant, « nous mènerons très prochainement des actions fortes et républicaines », a prévu Georgette Naniogo.
Abdou ZOURE
Pour Burkina 24
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tres cher frere tu a baucoup raison une partis du teritoure set abandoner a inpuniter des bandit de grand semain j’ai nom? departement de zabre province de boulgou les peul ons pris cette zone en otage chaque jour des mort par ci mort par la . la gendarmerie de zabre dont ons doit tir? LE CHAPEAU A FINI PAR CE D?courager pour la faiblesse de notre justice fautome completement inexistant corompus du ministre jus qu’aux planton vraiment le president de faso fai piti?COMMENT DANS UN PAYS SOI DISENT INDEPANDENT PEUX METRE QUEL’QU’UN COMME JEROME BOUGOUMA OU BOUGOUM J?rome comme ministre de la s?curit? il est achi aux bureaux pandent que les honnette citoyen meur sou bal de l’arm?e et persone ne dit rien je vous declare que touts les coupure des route qui ons eux lieu au burkina de leraba ? kantcharide faramana ? zabre de goromgorom ?paga de gomboussougou ? nouna toutes les bales ramasser sur les lieux resutes de l’arm? et perssone ne dit rien parce que les responsable de la securit? son complice des malfras la police a raison par ce qu’unbandit arret? par la police est libre en moin de 24 heur exposition de la vie des policier
Pendant que les bandits des grands chemins ?cument nos campagnes, il est bon que les burkinab? sachent que depuis l’?lection municipale, une ?quipe de 3 policiers au moins garde la cour familiale du traitre de l’UPC, j’ai nomm? Assibo ? Wayalghin, juste derri?re le Benbao (c?t? Ouest). Ces policiers sont pay?s par nous tous pour veiller sur un traite, pendant que l’ins?curit? est partout, et que les coupeurs de route s?ment le d?sastre partout, ? la Gnagna, Fada, D?dougou…. Voil? ce ? quoi on assiste. Ceux qui veulent en attester pourront passer v?rifier. Il faut y mettre un terme!