Mariam Sankara sur la tombe des martyrs : « Le Burkina est libéré, le dictateur est parti »

publicite

Ce vendredi 15 mai 2015, Mariam Sankara, la veuve de Thomas Sankara est allée se prosterner sur les tombes des martyrs des évènements des 30 et 31 octobre 2014 et de Norbert Zongo, journaliste assassiné en 1998.

La suite après cette publicité

Accompagnée des leaders des partis sankaristes et de la veuve de Norbert Zongo, Mariam Sankara est allée ce vendredi 15 mai 2015 se prosterner sur les tombes du journaliste Norbert Zongo et des martyrs des évènements des 30 et 31 octobre 2014.

Apres s’être prosternée premièrement sur la tombe du journaliste assassiné en 1998, Mariam Sankara, a par la suite fait la même chose sur les tombes de ces hommes et femmes tombés lors de l’insurrection populaire.

« Ici reposent les jeunes qui sont tombés par l’avidité du pouvoir de certaines personnes. Je demande qu’ils reposent en paix. Les combats qu’ils ont menés, ce pourquoi ils sont partis, leurs camarades sont entrain de poursuivre. En effet, le Burkina est libéré, le dictateur est parti » dit-elle.

Le représentant et porte-parole de la famille des martyrs de l’insurrection en prenant la parole a d’abord remercié la délégation de sa venue pour la cause. Puis, il a souhaité qu’au nom de la famille, les corps de leurs enfants reposent en paix.

Après cette première étape au cimetière de Gounghin, Mariam Sankara selon son programme devrait se rendre cet après-midi à l’assemblée nationale brûlée le 30 octobre 2014.

Notons qu’elle doit être entendue ce lundi 18 mai 2015 par le juge d’instruction militaire sur le dossier de son défunt mari, Thomas Sankara.

❤️ Invitation

Nous tenons à vous exprimer notre gratitude pour l'intérêt que vous portez à notre média. Vous pouvez désormais suivre notre chaîne WhatsApp en cliquant sur : Burkina 24 Suivre la chaine


Restez connectés pour toutes les dernières informations !

publicite


publicite

Rédaction B24

L'actualité du Burkina 24h/24.

Articles similaires

5 commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page