Projet résilience communautaire durable au Sahel : Les résultats des projets diffusés

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L’ONG Diakonia a organisé le mercredi 2 décembre 2015 à Kaya, un atelier de capitalisation des bonnes pratiques de la phase pilote du projet Résilience communautaire Durable au Sahel en tenant compte du Climat  en abrégé ReDuS-C. L’objectif principal de cet atelier était de partager et diffuser les résultats des projets exécutés dans le cadre de ce programme.

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Diakonia a entrepris une initiative de réduction des risques de catastrophes qui consiste à travailler à la planification et à la mise en œuvre d’actions de prévention, préparation et gestion de risques de catastrophes.

Bintou Diallo
Bintou Diallo

Dans ce sens, il a apporté son appui à ses partenaires pour le renforcement des capacités des communautés à se protéger contre les catastrophes, à minimiser leurs impacts et à réduire les vulnérabilités futures de leurs membres les plus démunis à travers le projet « Résilience communautaire Durable au Sahel en tenant compte du Climat (ReDuS-C)».

Durant cette phase pilote, les fondements d’une initiative plus ambitieuse de longue durée ont été posés par Diakonia et ses partenaires en apportant une réponse combinant à la fois l’aide humanitaire et l’appui au développement durable suivant une approche intégrant la réduction des risques de catastrophes et d’adaptation au changement climatique.

Plus spécifiquement, son but a été de « Contribuer au renforcement durable de la résilience des communautés rurales aux chocs climatiques dans le Sahel ».

Cet atelier a permis mettre en relief les meilleures pratiques en matière de construction de résilience. Notons que le projet ReDuS-C a été mise en œuvre par l’Association des Eglises reformées Evangeliques du Burkina (AEERB) basée à Kongoussi, l’Alliance Technique d’Assistance au Développement (ATAD) basée à Kaya et l’Association Tin Tua (ATT) basée à Fada.

Les participants à l'atelier
Les participants à l’atelier

Cette phase pilote a permis de toucher 360 ménages répartis dans 5 communes que sont Kongoussi, Rouko, Boussouma, Pissila et Kantchari et a permis d’engranger plusieurs résultats dont la mise en place de dix plans de préparation aux risques de catastrophe, les connaissances sur la réduction des risques de catastrophes, la signature d’un pacte environemental.

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