Attaque de Nassoumbou : « Le camp a répondu et de manière massive »

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Le détachement militaire burkinabè situé à Nassoumbou a essuyé une attaque d’individus le 20 mars 2017.  Il est noté un blessé léger du côté des forces armées nationales. Egalement, dans la nuit du 19 au 20 mars toujours, un gendarme burkinabè a été blessé lors d’une embuscade à Petega, à 25 km de Djibo. La vie des deux éléments des FDS, selon le ministre de la sécurité, Simon Compaoré, n’est pas en danger.

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Le Burkina Faso a subi deux attaques le 20 mars dernier dans la région du Sahel. La première était contre une Unité de l’Armée installée à Nassoumbou, à environ 25 km de la frontière malienne et à 45 km de Djibo. La deuxième attaque a visé une Unité de la gendarmerie à Petega toujours vers Djibo.

Ce mardi 21 mars 2017, le ministre d’Etat a donné des informations sur la santé des deux éléments blessés. Et les autres qui sont restés au front, foi du ministre de la sécurité, continuent à « faire le boulot  correctement ». Pour Simon Compaoré qui se dit fier, les éléments des FDS ont été formés pour ça et ils s’assument.

« Dans les deux attaques, nous devons féliciter nos Hommes. La première attaque, il y a eu une riposte conséquente. On a tiré à la roquette sur le camp. Et le camp a répondu, et de manière massive.

Nous sommes très heureux du comportement de nos Hommes là-bas. Je crois que nous devons tous féliciter notre Armée (Acclamations). Ça veut dire que s’il y a la volonté accompagnée des moyens, il n’y a rien à faire, la victoire est au bout de cet effort.

Dans les deux cas (attaques), nous avons eu à Nassoumbou, un militaire qui a reçu des débris de projectiles à la face. Sa vie n’est pas en danger. 

La deuxième attaque, c’est à Petega où des Unités motorisées de gendarmes ont été prises à partie. Il y a un des binômes qui a été blessé. Immédiatement, des dispositions ont été prises et il a été évacué ici. Il est à l’hôpital de Tengandogo. Je peux vous dire que hier soir, j’ai été le visiter.

Il a subi juste une opération et il était en train de se réveiller quand j’arrivais. Ce matin, je vais repartir là-bas mais on m’a dit qu’il est debout et en train de causer avec les médecins. C’est donc vous dire que ce deuxième gendarme, sa vie n’est pas en danger ».

Propos recueillis par Noufou KINDO

Burkina 24

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Noufou KINDO

@noufou_kindo s'intéresse aux questions liées au développement inclusif et durable. Il parle Population et Développement.

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