FESPACO 2023 : La CEDEAO renouvelle son soutien au Burkina Faso et au FESPACO
Une délégation de la CEDEAO, conduite par la Professeure Fatou SOW SARR, Commissaire en charge du Développement Humain et des Affaires Sociales de la Commission de la CEDEAO, prend part aux festivités de la 28 ème édition du FESPACO. L’organisation réitère son soutien envers le monde du cinéma africain.
Fatou SOW SARR, Commissaire en charge du Développement Humain et des Affaires Sociales de la Commission de la CEDEAO, et sa délégation ont visité des stands au Siège du FESPACO ce dimanche 26 février 2023.
Maintenir le FESPACO dans ce contexte de crise démontre la capacité de résilience du Burkina selon Fatou Sow Sarr qui dit être venue exprimer le soutien de l’ensemble des pays membres de la CEDEAO au peuple burkinabè et au FESPACO.
« Nous sommes là donc pour continuer à participer à l’effort de consolidation du FESPACO à travers les subventions que nous donnons à chaque fois et à travers les quatre prix aussi que nous maintenons », confie-t-elle.
Pour Fatou Sow Sarr, la culture devient un élément central dans le devenir de l’Afrique. « Nous disons toujours que l’Afrique c’est l’avenir de l’humanité, comme le disent les gens, pour ces richesses économiques. Il faut que tout le monde court vers l’Afrique. La culture est le futur de l’humanité et c’est la culture africaine.
Pour ça, le FESPACO contribue à cela. Nous sommes très heureux de voir le nombre de participants ici, le nombre de solidarité à travers cette question, mais aussi l’engament des jeunes pour ce FESPACO. La belle prestation qu’on a vue hier à la cérémonie d’ouverture montre l’ingéniosité des jeunes africains, des jeunes burkinabè, leur capacité d’innovation de pouvoir aujourd’hui compétir sur la scène mondiale au même titre que les autres. Le FESPACO n’est plus une question simplement du Burkina au même de l’Afrique, c’est devenu un évènement mondial où tout le monde converse, pour cela il faut s’en féliciter ».
Fatou SOW SARR a foi que la 28ème édition se terminera sur de belles notes. D’ailleurs, elle n’a pas caché sa joie et son admiration quant à la belle réussite de la cérémonie d’inauguration avec une chorégraphie digne du FESPACO sous la maestria du chorégraphe burkinabè Serge Aimé Coulibaly.
« C’était magnifique », a-t-elle clamé avant d’ajouter que « l’espoir qui est né depuis le début, la flamme continue à être maintenue. A chaque fois qu’il y a le FESPACO, on a senti que le Burkina a poussé plus loin l’idée fondatrice. Et nous pensons que la 28ème édition ne sera pas en reste ; les résultats nous montreront que ça sera meilleur que les précédentes.
Déjà ce qu’on a vu, on est très confiants ; je sais qu’on en sortira encore beaucoup plus fiers, on en sortira beaucoup plus grandis, on s’en sortira en sachant que le Burkina contribue encore et encore à placer la culture au rang mondial », a-t-elle exprimé.
Pour finir, la représente a exprimé l’attente de l’organision de la région Ouest africaine envers le monde du 7ème art. A l’entendre, le monde culturel notamment le cinéma a un rôle important à jouer dans la construction des générations à venir.
« Parce que par ce biais, nous sommes capables de toucher des millions de personnes qui sont dans notre espace. Qu’ils continuent de porter ce message des fondateurs. On est en train de fêter le centenaire de Sembène Ousmane ; nous savons que le message de Sambène est encore actuel. C’était des combattants pour la liberté, c’était des combattants pour l’indépendance de notre continent ; ce message est toujours actuel parce que nous devons nous battre pour l’indépendance au-delà de l’indépendance politique », a-t-elle lancé.
La CEDEAO, connue comme l’un des principaux partenaires du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) depuis 1993, a décidé cette année de reconduire les quatre prix octroyés à la 27ème édition, à savoir le Prix de la meilleure réalisatrice de cinéma doté de 10 millions de FCFA, le Prix de l’intégration, d’une valeur de 15 millions de FCFA, le Prix spécial du meilleur plus jeune réalisateur ou de la meilleure plus jeune réalisatrice de film d’école (2.000.000 de FCFA) et le prix spécial du meilleur plus jeune comédien ou la meilleure plus jeune comédienne (1.000.000 FCFA).
Ces prix sont ouverts aux professionnels du cinéma de l’espace CEDEAO et visent à encourager la créativité de la société civile ouest-africaine.
Akim KY
Burkina 24
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