Bassolma Bazié dit « merci » aux Russes pour la « franchise » et le « respect mutuel » dans leur coopération avec le Burkina Faso
Présent dans le cadre du 8e Forum international du travail à Saint Petersburg, le ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, Bassolma Bazié a dit «merci» aux Russes et à leur dirigeant, saluant la franchise et le respect mutuel dont ils font montre dans la coopération avec le Burkina Faso.
«Nous disons merci au Peuple de la Russie et ses dirigeants pour sa coopération pleine de franchise, de transparence, d’ouverture et de respect mutuel», a déclaré le ministre Bassolma Bazié le mardi 20 février 2024 au 8e Forum international du travail, ouvert du 19 au 24 février dans la ville russe de Saint-Pétersbourg, sous le thème « Le concept d’un espace migratoire commun des Etats membres de la Communauté des Etats indépendants : principes généraux et intérêts nationaux ».
«C’est aussi cela le respect de la souveraineté des Peuples, (et) cette souveraineté, bien sûr, nous ne la négocions pas avec qui que ce soit, d’où nous sommes prêts à payer le prix multiforme qu’il faut pour l’imposer », a laissé entendre le ministre d’Etat rapporté par le service de communication du ministère.
Intervenant à la cérémonie d’ouverture, il a transmis les salutations «chaleureuses et fraternelles» du président Ibrahim Traoré, du Gouvernement et du peuple burkinabè à ses hôtes, soulignant que sa participation à ce forum se veut l’une des marques nobles de la «collaboration fraternelle entre les deux peuples».
Pour le ministre Bazié, dans un monde en pleine mutation et en crise, garder des relations audacieuses, sincères et humaines est une tâche pénible. « Mais, savoir le faire relève d’une dignité et d’un honneur dans l’âme.
En effet, le Burkina Faso, Pays des Hommes intègres, situé au cœur de l’Afrique de l’Ouest connait des difficultés essentiellement liées à cette crise terroriste fabriquée de toute pièce par la rapacité capitaliste dans le monde, afin d’y imposer misère, douleurs et désorientation pour mieux piller des richesses. Il en est de même pour ses pays frères limitrophes que sont le Mali et le Niger », a-t-il soutenu.
Source : Agence d’Information du Burkina (AIB)
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