Ouagadougou a abrité la 1ère Conférence Nationale des Associations pour la paix, le développement et le bien-être social du Burkina Faso 

La Conférence Nationale des Associations pour la Paix, le développement et le bien-être social du Burkina Faso (CNAB) s’est tenue le samedi 14 décembre 2024 à Ouagadougou. Cette première édition était placée sous le thème « le rôle des associations pour surmonter les difficultés qu’elles rencontrent, des solutions adéquates pour l’Alliance des Etats du Sahel et des préventions rassurantes pour les catastrophes naturelles ».

La Conférence Nationale des Associations pour la Paix, le développement et le bien-être social du Burkina Faso (CNAB) a réuni des associations œuvrant dans la promotion de la paix, du développement et du bien-être social.

A écouter Karim Ouédraogo, promoteur de la CNAB, l’objectif de cette rencontre c’était de dynamiser les actions des différentes associations traversant une certaine morosité.

« L’initiative de créer cette conférence, c’est de faire de telle sorte pour que les associations qui se créent ne restent pas bredouilles. Il y a des associations qui se créent au Burkina Faso qui peuvent faire une année, deux années sans mener une activité. Mais la CNAB est créée pour permettre à tout membre d’association de participer à une activité », a-t-il déclaré.

Lire également 👉Elections 2020 au Burkina : L’AJDP dénonce des pratiques douteuses

Selon lui, les catastrophes naturelles ne peuvent être résolues sans une union de forces dans l’espace des trois États du Sahel. « Ensemble on se partage les idées pour le bien-être social du Burkina Faso. C’est en se donnant main dans la main que nous allons trouver des solutions adéquates pour l’Alliance des Etats du Sahel », a-t-il renchéri.

Mahmoudou Gatanra, vice-président de la Jeunesse communauté musulmane a loué l’initiative. Aussi a-t-il souligné la disponibilité de la communauté musulmane à soutenir l’initiative.

« Cette initiative est la bienvenue au vu des difficultés dans lesquelles se trouvent le Mali, le Niger et le Burkina Faso. La communauté musulmane accompagne cette initiative vu les problèmes auxquels fait face l’Alliance des États du Sahel », a-t-il souligné.

Soumaïla MALO (stagiaire)

Burkina 24