Burkina : Toute l’armée nationale se range derrière le lieutenant-colonel Zida
Depuis la démission du Président Blaise Compaoré jusqu’au lendemain du 31 octobre 2014, les Burkinabè se demandaient toujours qui tient les rênes de leur pays, après deux déclarations qui semblaient contradictoires du Chef d’état major général des armées, Général Honoré Traoré et le lieutenant-colonel Isaac Zida.
Mais depuis ce 1er novembre 2014, tout est désormais clair. C’est le lieutenant-colonel Zida qui dirige le Burkina Faso.
« Aujourd’hui 1er novembre 2014, 54e anniversaire des Forces armées nationales, la haute hiérarchie militaire, après concertations à l’état-major général des armées, informe l’opinion nationale et internationale que lieutenant-colonel Isaac Yacouba Zida a été retenu à l’unanimité pour conduire la période de transition ouverte après le départ du pouvoir du Président Blaise Compaoré« , a indiqué le Général Honoré Traoré, dans une déclaration officielle signée ce 1er novembre 2014.
Voilà donc qui rassure les Burkinabè, qui avaient craint un moment pour la cohésion de leur armée nationale.
Photo : Le lieutenant-colonel Isaac Zida entouré des différents chefs de corps de l’armée nationale burkinabè (© Lefaso.net)
Nous tenons à vous exprimer notre gratitude pour l'intérêt que vous portez à notre média. Vous pouvez désormais suivre notre chaîne WhatsApp en cliquant sur : Suivre la chaine
Restez connectés pour toutes les dernières informations !
Restez connectés pour toutes les dernières informations !
Il ne doit pas avoir un otre Blaize au bourkina apr? blaize, mai pour cela il faut un civil au pouvoir dan le calme et dans la cerenit? de tout les bourkib?
Ce n?est pas seulement a Kossyam qu?il y a des agents secrets, mais le Burkina est un village et tout se sait et se raconte : D?apr?s que cette journ?e de jeudi historique du 30.10.14 le palais de Kossyam ?tait comme une ruche dont chacun se cherchait, et le calme est revenu apr?s un entretien de Gilbert, Yacouba, et Compaor?. Ce oui clos du jargon politique ?tait de donner une assurance au cam?l?on que les deux resteront fid?les jusqu?? la mort, m?me quitte ? tenir le volant du pouvoir avec des troubles dont le peuple se retourneront vers un dictateur en exile. ZiDA le peuple a besoin d?une vraie alternance, vous voulez retardez l?avancer du Burkina, vous n?avez aucune place dans l?alternance politique et ?conomique de notre pays, a moins que vous abandonnez votre projet diabolique. Ce message ne passera pas dans un site d?information des r?seaux sociaux du Burkina, par peur de la r?pression du m?me Zida, qui manipule Herv? Kam et le balai citoyen. Mais je crierai jusqu?? ma mort pour qu?on m??coute comme avec GBAGBO et Compaor
1.on n'a pas fait cette insurrection pour qu'elle soit dirig?e par 1 militaire:transition CIVILE.ARMEE=s?curit?
2.les chefs militaires auraient ?t? mieux inspir?s de d?saisir l'arm?e de la direction de la transition pour ne pas humilier le chef d'?tat major.
TRANSITION CIVILE avec des personnalit?s neutres et des techniciens.
La victoire du d?part du pr?sident blaise Compaor? qui voulait tripatouiller l?article 37 revienne au peuple. Une vraie transition politique pour une pr?paration d?une ?lection pr?sidentielle pr?vue pour 2015 revienne au peuple selon la constitution de notre Pays. L?arm?e Burkinab? a d?cider, mais est-ce qu?avec le peuple ? Non ! Dans un discours de cafouillage le 31. 10 14 de Yacouba Zida en pr?sence du balai citoyen, disait ceux-ci : (d?sormais toute d?cision doit ?tre approuv? par le peuple a la place de la r?volution) ?a commence avec des mensonges, le peuple doit continuer la lutte pour que les habitudes de notre arm?e ne soit pas des r?p?titions. De Lamzana a Blaise compaor?, l?arm?e a toujours trahi le peuple pour confisquer le pouvoir. En 2014 ce n?est plus le m?me peuple, le peuple Burkinab? et la communaut? vous surveillent.
C'est une tr?s bonne chose que l'arm?e soit avec le peuple. Maintenant que Zida fait l'unanimit?, il faut coordonner le plus vite possible pour ne pas laisser le doute s'installer. Il faut que les OSC, l'arm?e et les forces politique se rencontrent sur un m?me lieu. Une partie du peuple se plaint d?j? pourquoi on dit que les fronti?res sont ferm?es et on laissent certains dignitaires comme l'ex-ministre des finances quitter le pays.