La loi sur le prix du loyer avant le 17 novembre, promet le ministre de l’habitat
Le ministère de l’habitat et de l’urbanisme organise son premier CASEM (Conseil d’administration du secteur ministériel) de l’année, ce vendredi 3 avril 2015 à Ouagadougou. Placé sous le thème général : « Quelles orientations pour un meilleur encadrement du bail d’habitation privée au Burkina Faso ? », les réflexions devront permettre, aux dires du premier responsable du département, Réné Bagoro, de garantir la mise en place d’un mécanisme d’encadrement des baux d’habitation privée adaptés au contexte burkinabè.
Le 24 décembre 2014, le ministre de l’habitat, Réné Bagoro, l’avait révélé : « Dans ma lettre de mission, le prix du loyer est pris en compte. Nous allons soumettre un texte sur le bail locatif, (…) qui va avec le concours des spécialistes, fixer le prix du loyer en tenant compte d’un certain nombre de caractéristiques…».
Le gouvernement burkinabè, après avoir entrepris sans résultat conséquent, plusieurs mesures visant l’organisation et la réglementation du bail d’habitation depuis 1989, veut donc se rattraper en réglementant le secteur afin d’assurer un meilleur accès au logement locatif.
« C’est mon premier CASEM en tant que Chef du Département. Et vous imaginez qu’en tant que gouvernement de la transition, nous avons des priorités et l’une d’entre elles, c’est comment faire pour encadrer le loyer ? », a réaffirmé le ministre de l’habitat, ce vendredi 3 avril, lors du premier CASEM du Département.
Réné Bagoro, reconnaissant que le « droit au logement » est inscrit dans la Constitution burkinabè, la Charte africaine des Droits de l’Homme et des peuples et dans la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, a rassuré que les discussions autour du thème permettront « à ceux qui construisent, de pouvoir aussi en tirer bénéfice sans que les locataires souffrent sous le coût du loyer ».
Un texte très attendu…
Le ministre a également reconnu que son Département « est très attendu sur la question car le gouvernement et les populations fondent beaucoup d’espoirs sur les résultats du bureau d’études ».
Selon ses propos, un Cabinet spécialisé dans le domaine sera, de ce fait, recruté afin de garantir la mise en place d’un mécanisme d’encadrement des baux d’habitation privée adaptés au contexte burkinabè.
Par ailleurs, le ministre demande « aux citoyens d’être patients, parce que nous voulons faire quelque chose d’assez pertinents». A l’écouter, toutes les conditions, toutes les questions et tous les paramètres seront étudiés afin de fixer des prix qui vont être raisonnables.
En attendant, « le citoyen peut être sûr que, d’ici la fin de la transition, avant le 17 novembre 2015 selon la Charte, il aura son texte sur le prix du loyer, sur le bail locatif », a-t-il confié à la presse.
A côté de la question cruciale du bail d’habitation, plusieurs autres questions seront abordées lors de ce CASEM notamment les recommandations des états généraux sur les lotissements, l’aménagement du panthéon aux martyrs et le démarrage effectif du projet de construction de 1000 logements sociaux dans le cadre de la coopération avec l’Inde.
Noufou KINDO
Burkina24
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foutaise
Trouver autres solutions avant que les promoteur ne r?cup?r? leurs clee. On aura des SDF
merci
merci
merci
Le populisme, ?a fait plaisir mais ?a vous colle aux pieds !
En plus les maison n’ont pas la m?me valeur. Et je ne vois pas comment imposer quoi que ce soit ? un bailleur. On peut imposer le nombre d’avance et la caution mais cout du loyer huummmm pas evident
On est plus en ?conomie lib?rale, une mesure cette a saluer mais il faut faire attention aux d?rive. Une maison 3 pi?ce d’un point a un autre n’a pas la m?me valeur. Alors il faut encadrer mais ne pas d?border
le loyer est trop cher
il faut diminuer oooh
Jai pas de maison mais je ne vois pas ce bailleur qui va accepter reduire loyer car la transition a dit de le faire. Vous penser que ya assez de maiskn a waga ou quoi. Sil refusede louer car cest pas ? son prix que peut faire le gouvernement?
n’importe koi
Ok on attend car il ya un proverbe africain qui dit que « c est la bouche qui condamne, c est cette m?me bouche qui lib?re »
Si vous ne fait attention on va allez chercher Blaise comme kerekou
Sans ?tre trop pessimiste, la mise en oeuvre effective de ces textes seront difficile.
Du moment o? le gouvernement lui m?me g?re mal les logements administratifs, il lui sera compliqu? de vouloir instaurer une rigueur au sein des promoteurs priv?s.
D’ailleurs o? en sommes nous avec les fameux logements dits sociaux?
Bonne id?e ,soutenons l?s .
Sil vous plait ns voulon des action pas de promesse
une possibilite!
vraiment!!!
C’est une provocation. Pour reduire le prix des loyers, le gouvernement peut construire des logements sociaux. En agissant sur l’offre et la demande, les particuliers seront oblig?s de revoir le prix du loyer, sinon ils ne trouveront pas preneurs. L? gouvernement ne peut decharger son fardeau sur les honnetes citoyens qui ont suer sang et eau pour construire des celibat pour subvenir aux besoins de leurs enfants et assurer leurs vieux jours. Les proprietaires de maisons ne sont pas l’action sociale. Et pendant qu’on y est, qui fixera le prix des immeubles des dignitaires (certains hesitent ? declarer leurs biens conformement aux textes en vigueur) qu’ils louent ? prix d’or aux diplomates et organisations internationales? C’est toujours les plus faibles qui doivent porter les plus lourds fardeaux.
Le gouvernement n’a qu’? instaurer d’abord une loi sur la vente des parcelles.
Au soir de la pr?sidentielle on ?tablira le bilan de la transition et on attendra le nouveau pouvoir. Il y a eu trop de « on va faire ?a ».
Courage
Au lieu de vot? des lois pour que chaque citoyen ais un toit, ces pour impos? un prix au bailleur qui on seigner corps et ?me pour b?tir quelque chose. Ce gouvernement ne joue pas la carte de la r?solution des probl?mes mais il les deplace. N’importe quoi? Quand on est pas embicieu on ne peut que soutenir ces genre de projet. Il n’as ka s’appr?ter ? trouv? un nouveau toi pour des gens car beaucoup seront mis ? la porte
Vous avez une volont? politique mais je crois que l’application sera tr?s difficile si les bailleurs n’affichent pas la m?me volont
Je pense que la question sera ?voqu? et nos bailleurs diront pourquoi leurs maisons sont ch?res.tout va se dire et on saura quoi faire.attendons seulement beaucoup de choses seront revus.soutenons et encouragons-les
Dieu vous b?nisses
hum on lai rgard
Il faut arriver a controler d,abord le prix des parcelles ou les soi disant cocosseurs ne font que augmenter les prix, donc il faut avoir le prix fixe du metre carr? et surtout controler aussi le prix du materiel de construction comme le ciment et autres que le government ne controle pas du tout avant de parler du prix du loyer.
Un beau texte ? la fin de la transition, et l’application au gouvernement qui suivra !!!
Il fo quil regard dabor les prix d materio ,le cima ,l fer ,le boi ,tou tai cher ,revoiy ca dabor pacq ci je paiyn cher les materio
Le probl?me ici au burkina n,est pas seulement dans l,elaboration des textes.le probl?me se pose le plus souvent au niveau de leur application
qu’il fasse vite nous on est fatigu