UNIR/PS : Les femmes à l’école du militantisme
La saison de la formation des femmes en matière de politique semble ouverte pour les partis politiques du Burkina Faso. Après l’UNDD et l’ADF/RDA, voici le tour de l’Union pour la renaissance, parti sankariste (UNIR/PS), de renforcer les capacités de ses militantes sur leur rôle et leur participation dans la vie politique. La formation s’est ouverte ce samedi 17 septembre 2011 à Ouagadougou.
L’Union pour la renaissance, parti sankariste (UNIR/PS) a décidé de renforcer les capacités de 30 de ses militantes. Cela à travers un atelier de formation sur le thème : « Renforcement des capacités des jeunes femmes pour une participation politique plus efficace », tenu ce samedi 7 septembre 2011 à Ouagadougou. Cette session de formation est organisée avec l’appui du NDI (National democratic institute), lequel avait fait profiter à 5 des militantes du parti une formation sur le leadership féminin du 20 au 24 juillet 2011, avec des militantes d’autres partis politiques. Celles-ci avaient pris alors le titre d’académiciennes.
Pour la représentante de ces militantes à l’UNIR/PS, Liliane Nikiéma, la responsabilisation des femmes ne saurait revêtir tout son sens et profiter aux partis politiques et à la nation que si ces femmes sont dotées des compétences qui les rendent efficaces à leur poste. C’est pourquoi elle estime importante cette session qui permettra à ses sœurs d’être davantage outillées sur leur rôle et leur participation sur le terrain politique.
Le représentant du président du parti, Yamba Malick Sawadogo, coordonnateur régional du centre de l’UNIR/PS, a opiné dans le même sens : « Si nos militants sont sans formation, nous n’aurons que des électeurs. Or, il nous faut des militants pour parcourir le pays et recueillir les électeurs ». Et parmi ces militants, figurent les femmes dont leur nombre, selon Yamba Malick Sawadogo, devrait « en principe les placer aux avant-postes du combat pour notre libération ».
A l’orée des élections couplées municipales et législatives de 2012, les partis politiques semblent sonner le rassemblement de leurs troupes. La majorité de celles-ci se trouvant parmi la gente féminine (elle représente plus de la majorité de la population burkinabè), les partis politiques mettent donc les bouchées doubles pour courtiser leurs charmes (politiques, s’entend !) et s’assurer le maximum d’électeurs lorsque la cloche des urnes aura sonné.
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J’ai beaucoup de diuffcilte9 avec ses propos.Quand il parle des autres ge9ne9rations, aussi me9chantes et insipides peuvent-elles eatre, j’he9site e0 choisir entre la fermeture d’esprit et le de9sespoir pour justifier son me9pris.Bien dommage, admettre l’e9chec, c’est une e9tape, mais pour perse9ve9rer il faut savoir s’entourer de gens qui savent combler nos lacunes et il semble qu’il aurait bien eu besoin d’ouverture face aux autres ge9ne9rations.Tant pis pour lui, on le refera seuls, le monde!