«LA JOIE DU PEUPLE», à PARIS comme à OUAGA!
Les lieux de détente se ressemblent de par leurs situations géographiques et les services qu’ils offrent. Partout, ils sont de véritables pôles d’attraction. Au Burkina Faso et en France, surtout dans les capitales de ces deux pays, ils prolifèrent sous diverses appellations. A Ouagadougou, on a « La Joie du peuple », à Paris aussi.
Dans la capitale burkinabè, dans le quartier Gounghin, se trouve un maquis dénommé La Joie du peuple. A Paris, dans le 20e, se trouve également un bar du même nom. Simple coïncidence? L’on s’en tiendrait à cela si les tenancières de La Joie du peuple du côté de Paris n’avaient pas séjourné au pays des Hommes Intègres.
En effet, férues des nuits ouagalaises, les fondatrices de La Joie du peuple de Paris, ont eu à l’idée de créer dans la « ville lumière » un bar éponyme. Ce lieu qui voit passer des personnalités du showbiz burkinabè allie soirées musicales, de contes, des expositions de tableaux et des échanges de différentes cultures du vaste monde.
La Joie du peuple à Paris, a vu évoluer des artistes burkinabè tels que Bil Aka Kora, Obscur Jaffar, etc. D’autres comme Alif Naba attendent dans les starting-blocks pour donner aussi leur part de coloration ouagalaise aux nuits parisiennes.
Ce lieux de culture constitue un tremplin pour l’exportation et la valorisation de la culture burkinabè, à travers sa musique surtout, dans un monde globalisé, au rendez-vous du donner et du recevoir.
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