Arrêt des évaluations : Le ministère de l’éducation nationale met en garde
Le Ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (MENA), a dans un communiqué ce 3 décembre 2018, mis en garde le personnel enseignant contre l’arrêt des évaluations décidé par la Coordination nationale des syndicats de l’éducation.
Dans le document signé par le secrétaire général du MENA, Kalifa Traoré rappelle que l’évaluation des élèves fait partie des obligations du personnel enseignant.
« L’inéxecution partielle ou totale de ses obligations par l’agent public constitue une faute professionnelle grave« , tire-t-il comme conséquence, appelant l’ensemble des acteurs de l’enseignement et de l’encadrement au « strict respect de ces prescriptions légales« .
A noter pour rappel que la Coordination nationale des syndicats de l’éducation (CNSE) a appelé à l’arrêt des évaluations dans les centres scolaires à compter du 3 décembre 2018. Une mesure « conservatoire » au non respect, selon la CNSE, par le gouvernement du protocole d’accord signé le 27 janvier 2018 et qui avait mis fin à une crise qui avait paralysé le système éducatif burkinabè pendant plusieurs semaines et mis en danger le calendrier scolaire.
A cette nouvelle crise qui se profile à l’horizon, le gouvernement, qui a fait part de son ouverture au dialogue, semble avoir adopté la voie de la fermeté. Il faut rappeler que 10 agents de la Garde de sécurité pénitentiaire (GSP) avaient été révoqués de la fonction publique pour avoir fait irruption au domicile d’un ministre dans le cadre d’un mouvement de revendication et les activités de leur syndicat ont été interdites.
Burkina24
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Ils n’ont cas nous licencié tous. On en a marre
Si tu sais que tu ne peux pas gérer les problèmes du mena.,M.le Ministre,il faut purement et simplement démissionner.Le corps enseignant sera le derrier corps à qui vous ferez de fausses promesses. Compte sur nous pour vous donner des leçons de bonne gouvernance ; puisque c’est notre métier… Foutaises !!!!?
Il faut admettre que la vie des enseignants est à respecter. Imaginer un peu la franchise de l’enseignement. Tirez en une conclusion une bonne fois pour toute.
mes respects
J’en appelle au sens de responsabilité et d’apaisement des parties prenantes pour une sortie apaisée de cette nouvelle brouille dans le système éducatif burkinabè. Chacun se doit de jouer sa partition afin que cette crise qui débute ne s’étende sur une longue durée. Nous sommes tous responsables de l’avenir de nos enfants et partant du futur de la nation entière.
Il est temps d’arrêter de donner un enseignement au rabais a nos enfants! L’on se rappelle bien qu’au terme de la crise de l’an passé, certains « malins » enseignants ont vite fait de reporter les mêmes notes du 2éme trimestre de pour le 3ème trimestre sans que cela n’émeuve leurs supérieurs! De grâce ayez pitié de pauvres parents qui ne peuvent se payer le luxe d’envoyer leurs enfants au privé.
La charité bien ordonnée commence par soi même.Le respect également se mérite.l’Etat nous a toujours exploiter depuis notre existence au sein du MENA, mais je pense que la fin est proche.Ce que je gagne dans ce MENA comparativement à mes efforts,me fait souvent haïr la vie.Meme mon frère qui a une charette et un âne s’en sort plus que moi.Un Cabri mort n’a plus peur de couteau…..que ce qui doit arriver arrive……..
Si l, inexécution partielle des obligations des enseignants constitue une faute professionnelle, il en ressort que la mise en œuvre partielle des engagements est une irresponsabilité.
Vous parlez de respect et d’obligation. Nous enseignants nous avons toujours respecter nos engagements vis à vis des élèves, de l’administration et remplie les tâches qui nous sont légales. Alors ne venez pas nous faire la morale. Nous méritons ce que nous demandons, c’est notre droit de réclamer notre dû.
Il faut admettre que la vie des enseignants est à respecter. Imaginer un peu la franchise de l’enseignement. Tirez en une conclusion une bonne fois pour toute.
mes respects
Vous parlez de respect et d’obligation. Nous enseignants nous avons toujours respecter nos engagements vis à vis des élèves, de l’administration et remplie les tâches qui nous sont légales. Alors ne venez pas nous faire la morale. Nous méritons ce que nous demandons, c’est notre droit de réclamer notre dû.
J’en appelle au sens de responsabilité et d’apaisement des parties prenantes pour une sortie apaisée de cette nouvelle brouille dans le système éducatif burkinabè. Chacun se doit de jouer sa partition afin que cette crise qui débute ne s’étende sur une longue durée. Nous sommes tous responsables de l’avenir de nos enfants et partant du futur de la nation entière.
Il est temps d’arrêter de donner un enseignement au rabais a nos enfants! L’on se rappelle bien qu’au terme de la crise de l’an passé, certains « malins » enseignants ont vite fait de reporter les mêmes notes du 2éme trimestre de pour le 3ème trimestre sans que cela n’émeuve leurs supérieurs! De grâce ayez pitié de pauvres parents qui ne peuvent se payer le luxe d’envoyer leurs enfants au privé.
Si tu sais que tu ne peux pas gérer les problèmes du mena.,M.le Ministre,il faut purement et simplement démissionner.Le corps enseignant sera le derrier corps à qui vous ferez de fausses promesses. Compte sur nous pour vous donner des leçons de bonne gouvernance ; puisque c’est notre métier… Foutaises !!!!?
Si l, inexécution partielle des obligations des enseignants constitue une faute professionnelle, il en ressort que la mise en œuvre partielle des engagements est une irresponsabilité.
La charité bien ordonnée commence par soi même.Le respect également se mérite.l’Etat nous a toujours exploiter depuis notre existence au sein du MENA, mais je pense que la fin est proche.Ce que je gagne dans ce MENA comparativement à mes efforts,me fait souvent haïr la vie.Meme mon frère qui a une charette et un âne s’en sort plus que moi.Un Cabri mort n’a plus peur de couteau…..que ce qui doit arriver arrive……..
Ils n’ont cas nous licencié tous. On en a marre