Energie au Burkina : Un atelier pour la validation de deux documents statistiques

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La Direction générale des études et des statistiques sectorielles du Ministère de l’Energie (DGESS/ME) a tenu ce lundi 9 décembre 2019, à Ouagadougou, dans la salle de conférence du Conseil régional du Centre, un atelier de validation de l’Annuaire Statistique 2018 et du Tableau de Bord 2018 du Ministère de l’Energie. Cet atelier a été initié par le Ministère de l’Energie avec l’accompagnement du Sous-programme Statistiques du Programme d’appui à la gestion publique et aux statistiques (PAGPS/SPS).  

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L’atelier de validation de l’Annuaire Statistique 2018 et du Tableau de Bord 2018 du Ministère de l’Energie a eu lieu ce lundi 9 décembre 2019 dans la salle de conférence du Conseil régional du Centre. Le lancement des travaux a été marqué par le discours d’ouverture du Secrétaire Général du Ministère de l’Energie, prononcé par son représentant Iliassa Zougmoré.

La tenue de cet atelier s’inscrit dans la mission de la Direction Générale des Etudes et des Statistiques Sectorielles du Ministère de l’Energie (DGESS/ME) en matière de production des données statistiques, et par son engagement à mettre en place un système d’information performant afin de permettre aux utilisateurs de disposer de statistiques fiables.

Cette rencontre qui a regroupé les représentants des structures gouvernementales, des Partenaires techniques et financiers et des Organisations de la société civile, vise plusieurs objectifs. Globalement, il s’agit de permettre aux participants d’apporter leurs contributions pour la validation des 2 documents. Autrement dit, relire, amender, valider et adopter les documents.  

« Les indicateurs actuels ne sont pas au rouge »

Pour le Directeur Général de la DGESS/ME, Brahima Nabi, conformément aux résultats attendus par le PNDES, les indicateurs actuels du taux d’électrification urbaine sont déjà satisfaisants. « Le PNDES nous demande d’atteindre les 69% en 2018, effectivement nous sommes aux 69% en 2018. C’est dire qu’en 2019, avec les efforts qui sont fournis, il y a un fort bond qui sera constaté parce qu’il y a des actions vraiment louables qui ont été menées dans le secteur. Les indicateurs actuels ne sont pas au rouge et c’est vraiment encourageant », a déclaré Brahima Nabi.

Il ajoute également que de tels résultats n’ont pas eu d’impact sur le coût du Kwh des hautes tensions. « L’impact des actions qui sont menées actuellement ne peut pas être immédiat. Il faut attendre quelques années pour pouvoir constater ces impacts. Ce sont des investissements lourds. C’est comme quelqu’un qui prend un prêt, il faut rembourser et pouvoir donc redistribuer le bénéfice avec tout le monde. Actuellement, on est en train d’investir », a expliqué Brahima Nabi.

Le financement de l’élaboration de ces deux documents statistiques est assuré par le Programme d’appui à la gestion publique et aux statistiques (PAGPS), qui est par ailleurs financé par l’Union européenne. Selon le représentant du PAGPS, Athanase Kagambèga, le programme est toujours disposé à accompagner les ministères dans la production de données statistiques.

Djamila DIALLO

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