Assises nationales : Le Capitaine Ibrahim Traoré désigné Président a signé la Charte de la Transition

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Le capitaine Ibrahim Traoré sera sans doute le prochain Président du Faso, selon Franck Nikiéma, un participant aux assises nationales qui a soufflé l’information à Burkina24 ce 14 octobre 2022. Une information officiellement confirmée en début de soirée.

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«L’homme de la situation, le capitaine Ibrahim Traoré a été choisi», avait confié Franck Nikiéma. Il a indiqué que pour le moment, il ne reste que les grandes lignes de la transition sur lesquelles les participants sont en train de tabler. Ces grandes lignes, c’est entre autres la révision des accords de coopération pour la souveraineté du pays.

Franck Nikiema
Franck Nikiéma

«Il y a aussi les réformes administratives, on a demandé que le prochain gouvernement travaille beaucoup sur les différentes reformes administratives et éducatives. Mais le principal problème c’est que le Burkina retrouve son territoire», a ajouté le participant.

L’article 5 de l’avant-projet de la charte stipulait que le président du MPSR assure les fonctions de président du Faso, chef de l’État, chef suprême des forces armées nationales. Et cet article a été adopté par les participants, selon notre source.

Le Capitaine Ibrahim Traoré a fait son apparition à la salle de conférences aux environs de 20h. Les travaux se sont poursuivis jusque la nuit. Le Capitaine Ibrahim Traoré a signé la Charte de la Transition et l’acte de désignation du Président de la Transition aux environs de 22h30.

Le Capitaine Ibrahim Traoré

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Un commentaire

  1. L’essentiel pour cette transition à l’égard la nation consiste dans le développement du capital humain et économique. Et cela ne sera possible que par le retour des déplacés conditionné par le retour progressif de la sécurité. Face à cela, il ne faut mettre à l’écart l’éducation et l’économie. Les enfants qu’ils soient déplacé ou non, doivent tous aller à l’école sans discrimination de sexe ni ethnie. La nation aussi doit vivre, vivre par l’économie. Travaillons à réduire l’explosion du niveau de vie en permettant au entreprises de mieux prospérer. Cela pourrait être une solution à la crise sécuritaire aussi.

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