Évaluation des membres du gouvernement : Le niveau de réalisation consolidé au ministère des affaires étrangères se chiffre à 82,5%

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Le ministre en charge des affaires étrangères, Karamoko Jean-Marie Traoré a été évalué ce lundi 18 mars 2024 par le Premier ministre, Me Apollinaire Kyelem de Tambèla, par rapport à la mise en œuvre du contrat d’objectifs assigné à son département au 31 décembre 2023. 

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À l’issue de l’entretien qui a duré plus d’une heure d’horloge, le ministre en charge des affaires étrangères, Karamoko Jean-Marie Traoré, a confié que le contrat d’objectifs assigné à son département était articulé autour de trois objectifs majeurs.  Le premier objectif, a-t-il révélé, était de contribuer aux efforts de sécurisation et de défense du territoire national à travers des actions diplomatiques.

Le deuxième objectif consistait à travailler pour le rayonnement du Burkina à l’international et le troisième est relatif à la gestion de la diaspora.

«Au 31 décembre 2023, nous étions, tous taux confondus à un niveau de réalisation consolidé de 82,5 %. Mais qui cache des disparités au niveau de chacun des objectifs. L’objectif 1 par exemple, qui est le soutien à la sécurité et à la défense a un niveau d’atteinte de 91%, tandis que l’objectif spécifique n°2 qui est relatif donc au rayonnement du Burkina Faso était à un niveau de 76% et le 3e objectif qui est relatif à la gestion de la diaspora était à un niveau de réalisation de 89%», a-t-il relevé.

Le ministre Traoré a indiqué que plusieurs actions qui leur pouvaient leur permettre d’atteindre les 100% se sont finalisées en 2024. Et ce, suite à certains impondérables qu’ils ont connus.

«Mais l’un dans l’autre, nous avons pris bonne note des orientations nouvelles qui ont été données par le Premier ministre. Nous avons reconnu ensemble que le ministère des affaires étrangères doit être logé dans un secteur de planification qui lui est propre et lui permettre donc de prendre en compte un certain nombre d’incidents.

Parce que vous savez, il y a des dynamiques qui arrivent chemin faisant et qui ne figurent pas dans notre document initial de planification. Et donc qui ne ressortent pas dans nos résultats. C’est ainsi que tout ce qui touche l’AES ce sont des résultats que nous ne pouvons pas valoriser dans notre rapport», a-t-il précisé en faisant savoir qu’il s’agit ainsi également des rapports actuels du Burkina avec la CEDEAO qui ne peuvent être consignés dans leur rapport en ce moment.

«Et cela est lié au fait que nous essayons de rester dans un canevas qui correspond beaucoup plus aux exigences des secteurs de planification qui nous ont été imposées au niveau du gouvernement », a-t-il affirmé.

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