« La paix, c’est la seule chose qui nous permettra d’avancer vers un Burkina de souveraineté, de dignité et de prospérité » (Dr Poussi Sawadogo)
L’Association des Jeunes faiseurs de paix a organisé un panel, le samedi 21 septembre 2024, à Ouagadougou, afin de parler de paix au Burkina Faso.
Le panel voulu par l’association des Jeunes faiseurs de paix a eu pour thème central « Ensemble, bâtissons une paix durable au Burkina Faso ».
Hermann Guingané, président de l’association des Jeunes faiseurs de paix, a laissé entendre que ce panel, organisé à l’occasion de la Journée internationale de la paix, vise à inviter les Burkinabè à un dialogue, à une rétrospection, à une prise de conscience de la situation dans laquelle nous vivons.
Pour lui, les Burkinabè, notamment ceux vivant en ville, doivent avoir un comportement résilient aussi bien individuel que collectif. « Tant que nous ne serons pas unis, soudés ; tant que nous n’aurons pas la même vision, je pense que nous ne facilitons pas la tâche à ceux qui se sacrifient au prix de la sueur et du sang pour libérer ce pays », a-t-il partagé sa conviction.
Selon Dr Poussi Sawadogo, parrain, par ailleurs, historien et communicateur, c’est une initiative qu’il faut louer à sa juste valeur. « Elle permet aux Burkinabè de s’asseoir, de se parler et d’écouter des personnes ressources qui vont nous indiquer des éléments pour que les jeunes ici réunis puissent être des acteurs dynamiques pour construire une paix durable », a-t-il fait comprendre.
Il a somme toute lancé un appel à l’endroit de tous les Burkinabè à s’engager pour la paix, car c’est la seule chose dont a besoin le pays pour se mettre sur les rails du développement. « Que nous puissions nous engager pour la paix. La paix, c’est la seule chose qui nous permettra d’avancer vers un Burkina de souveraineté, de dignité et de prospérité », a-t-il invité.
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Ont été invité à animer le panel, Issaka Sourwema, ancien ministre des Affaires religieuses et coutumières ; Sylvie Ouédraogo, Ingénieure de projets en économie sociale et solidaire ; et le Lieutenant de police, chef de service de la coopération technique de la Direction générale de la Police nationale.
Tambi Serge Pacôme ZONGO
Burkina 24
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