Justice sociale : Le CERFI mobilise les consciences pour une paix inclusive

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« La justice sociale, gage de paix et de cohésion sociale », c’est sous cette thématique que se tient la conférence régionale organisée par le Cercle d’Études, de Recherches et de Formation Islamiques (CERFI). Autour d’experts et leaders religieux, les participants pourront échanger sur la cohésion sociale, l’équité et la paix.

« La paix est le fruit des actions humaines ». C’est par ces mots que Dr Hamidou Yaméogo, président exécutif du Cercle d’Études, de Recherches et de Formation Islamiques (CERFI) a conclu après son discours lors de la conférence régionale tenue ce dimanche 18 mai 2025.

Cette conférence régionale se tient au même moment dans les autres régions du Burkina Faso sous la thématique « La justice sociale, gage de paix et de cohésion sociale ». Il s’agit au cours de ladite conférence de mener des réflexions sur l’interdépendance entre la justice sociale, la paix, la cohésion sociale en s’appuyant sur les références Islamiques, mais aussi sur les réalités socioculturelles africaines et les lois qui encadrent la vie en société.

Dr Hamidou Yaméogo, président exécutif du CERFI

Des dires du président exécutif du CERFI, la justice sociale est une dimension importante du processus de construction de la paix. « Elle (la justice sociale, NDLR) implique des rapports apaisés de manière verticale entre les gouvernants et les gouvernés, mais aussi des rapports sains et passifs, inclusifs, solidaires entre les gouvernés eux-mêmes », a déclaré Dr Hamidou Yaméogo.

Boureima Nacanabo, représentant du parrain

Abordant dans le même sens d’idée que le Dr Hamidou Yaméogo, Boureima Nacanabo, représentant du parrain, a indiqué que cette « conférence est bien plus qu’un événement annuel, elle est une école de conscience, un rappel collectif, une invitation à l’action ». 

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Pour lui, la thématique choisie reflète une urgence capitale. « Celle de la paix fragilisée par les conflits et celle de la justice sociale. Il faut clairement le dire, il n’ y a pas de paix sans justice et il ne peut y avoir de justice sans équité, sans transparence, sans solidarité des droits de tous », a souligné Boureima Nacanabo.

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