Témoignage | Burkina Faso : Une visite internationale salue l’hospitalité, la sécurité et les efforts de développement

Malgré les appréhensions initiales nourries par les titres de certaines presses évoquant le crime, la guerre et le terrorisme, Chiyumba Ossome, une Afro-descendante, participante d’un voyage au Burkina Faso, affirme avoir découvert une réalité bien différente. Dès son arrivée, confie-t-elle en anglais, elle a eu le sentiment d’être « chez elle ». Elle décrit un peuple « accueillant, patient et aimable », dont la chaleur humaine l’a profondément marquée, plus que dans aucun autre pays qu’elle affirme avoir visité.  

Écoutez le témoignage

En anglais ici 👇🏿

Lire aussi 👉🏿Le Capitaine Ibrahim Traoré aux Afro-descendants : « Nous ne luttons pas seulement pour le Burkina Faso, nous luttons pour l’Afrique et pour la dignité de l’Homme noir ! »

La délégation en séjour dans la capitale Ouagadougou a bénéficié d’un encadrement sécuritaire constant. Des escortes policières ont été mises en place autour de chaque déplacement.

La visite a été notamment marquée par une audience avec Sa Majesté le Moogho Naaba Baongo, Roi de Ouagadougou, ainsi que par des découvertes historiques liées au Président Thomas Sankara, proclamé héros national.

La délégation d’Afro-descendants a également observé les avancées d’infrastructures résidentielles en développement et des travaux réalisés dans le cadre de l’initiative citoyenne « Faso Mêbo », lancée par le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré, afin de promouvoir le volontariat, le développement endogène et la reconstruction urbaine.

Des rencontres ont été organisées avec des familles déplacées, accueillies en zones sécurisées, dont la résilience a profondément touché les visiteurs.

Voir également 👉🏿 A Ouagadougou, le Sahel reçoit le soutien de la diaspora afrodescendante : Vers la création d’une télévision panafricaine

Chiyumba Ossome a adressé ses remerciements au Président Ibrahim Traoré, saluant un leadership qu’elle juge déterminant pour la protection et le développement du pays. Au terme du séjour, elle conclut son témoignage sur ces mots : « Je reviendrai bientôt à la maison ».

Bien au-delà des titres alarmistes et des récits qui souvent déforment son image, le Burkina Faso apparaît, aux yeux de ceux qui le vivent, comme une terre vibrant de vie, de dignité et d’amour. Ici, des mains construisent, des cœurs accueillent, et un peuple se relève avec courage.

À ceux qui regardent le pays depuis le monde extérieur, ce témoignage lance un message simple : le Burkina Faso n’est pas seulement une nation en lutte, c’est une nation qui vit, qui aime et qui espère.