Reboisement dans le Kouritenga : Le goyavier « emblème de Koupèla » était au rendez-vous
Sous le thème « pour le Kouritenga, je m’engage », les jeunes de la province se sont réunis le temps d’une journée à Koupèla ce samedi 20 août 2016 en plantant particulièrement le goyavier « un peu l’emblème de Koupèla » et en donnant un peu d’eux-mêmes (une poche de sang).
« Rien que pour le symbole », une bonne partie des plants mis en terre au cours de la journée de reboisement et de solidarité, à l’intérieur du tribunal de grande instance et la caserne de sapeurs-pompiers en construction, sont des goyaviers.
Au-delà, de la symbolique plantation d’arbres, a dit Adama Kouraogo, promoteur et directeur de l’administration et des finances du Ministère en charge de l’administration territoriale, « la première édition de la journée de solidarité se veut un cadre de rencontre, de partage et d’actions, qui sont des impératifs d’un développement porteur de bien-être ».
Quant au deuxième adjoint au maire, il a émis le vœu que le reboisement des cours desdits services, puisse aboutir à leur ouverture prochaine, car dit-il, « la population du Kouritenga s’impatiente de voir s’ouvrir les portes de la caserne de sapeurs-pompiers et du palais de justice ».
Pour, Adama Kouraogo, le développement triptyque implique non seulement l’efficacité économique et l’équité sociale, mais aussi la prise en charge des aspects environnementaux. Au nom de l’équité sociale, souligne-t-il, « le palais de justice est pour beaucoup et sera pour beaucoup ».
Evoquant la nécessité du partage dans la communauté, Adama Kourago a déclaré qu’ « il n’y a pas meilleur témoignage que de donner un peu de soi », d’où l’idée du « don de sang » en cette période de forte demande.
Le thème « Pour le Kouritenga, je m’engage », dit-il, est « l’expression d’une jeunesse consciente de son rôle de première place à fédérer toutes les énergies nécessaires pour le développement de sa localité ».
Cela représente pour lui une interpellation forte pour les jeunes à s’engager pour le développement au profit de leurs localités respectives. Et Koupéla pour lui, dit-il, ce n’est pas un choix. « C’est un impératif ». Et le parrain Raymond Balima, directeur général du protocole d’Etat de conclure que, c’est en partie ainsi que « l’on prépare aussi l’avenir radieux de notre pays ».
Oui Koueta
Burkina24
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