Mali : La drôle de guerre n’aura pas lieu
Et vlan ! Ce que le médiateur, la CEDEAO et la communauté internationale redoutaient le plus est arrivé. Dans le nord du Mali, les rebelles de l’Azawad et les soldats maliens se sont lancés les premières poudres de feu. Malheureusement pour les soldats républicains, la ville de Konna est tombée aux mains des islamistes.
La drôle de guerre n’aura pas lieu
C’est donc la débandade au sein des populations qui ont pris les routes du sud. La communauté internationale ne sait pas où donner de la voix. Le ministre burkinabè des affaires étrangères burkinabè, collaborateur direct du médiateur Blaise Compaoré, en a appelé à la retenue. Ce premier accrochage entre les soldats maliens et les islamistes vient rappeler que la phase d’observation en chien de faïence est loin. La drôle de guerre n’aura donc pas lieu. Il faudrait donc monter au front. La ville de Konna est déjà tombée aux mains des islamistes qui se dirigent vers Mopti qu’ils atteindront après 75km de route si aucune force ne vient leur obstruer le passage.
Après Diarra, Sanogo veut-il « démissionner » Diocounda ?
Pendant ce temps, à Bamako, une certaine frange de la population a pris d’assaut les rues pour crier son mécontentement. Parmi les marcheurs, les élèves et les étudiants ont interrompu, durant une partie de la journée, la circulation bamakoise. Cette marche n’aurait aucun rapport avec les attaques perpétrées par les islamistes. Les marcheurs réclament le départ de Diacounda Traoré, le Président par intérim.
Quelle mouche a pu les piquer, est-on en droit de se demander ? Pendant que le nord de leur pays est en train d’être envahi, pourquoi jettent-ils leur dévolu sur leur Président ? La réponse pourrait venir du côté du capitaine Sanogo. A part lui, l’on ne saurait trouver les raisons qui ont poussé à l’ouverture des hostilités, pendant que des négociations s’ouvraient à Ouagadougou.
En effet, le capitaine Sanogo ne laisse pas le choix à l’observateur de la crise malienne de le disculper, vu les antécédents avec le cas Cheick Modibo Diarra. Mis aux arrêts, ce dernier a rendu sa démission et est mis en résidence surveillée, n’ayant pas le droit de quitter le pays. Pour cette marche impromptue de Bamako, l’on est en droit de se demander si Sanogo ne veut pas la tête, sinon le fauteuil de Diancounda. L’on ne sera pas surpris d’une démission prochaine.
Rialé
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cet ce monsieur qui pousse les jeunes sur les rue , si tu es Homme lib?re le nord , je vous dit la promotion des capitaines sont finir depuis les Anne 1987 cet part urnes cet la d?mocratie ou rien , je rafraichir ta m?moire , le capitaine guin?e dadiss es ou
je suis d?sole pour le fam? capitaine sanogo qui cet hro a kati pour rien
On dit que l'erreur est humaine. L'?chec aussi ! On constate que jusque l? les n?gociations et la m?diation n'ont pas donn? de bons r?sultats. Et il en sera ainsi, tant qu'on ne pourra pas d?crypter ce qu'il y a dans la t?te du patron r?el du Mali (M. Sanogo) et dans celle de An?ar edine