C’est parti pour la 3e édition de la Conférence Internationale des Conquérants Vainqueurs

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La Conférence Internationale des Conquérants Vainqueurs (CICV) de l’initiative du pasteur Mamadou Philippe Karambiri a été ouverte le mercredi 30 octobre 2024 au Centre International d’Evangélisation-Mission Intérieure Africaine (CIE/MIA) à l’Eglise des Nations Tabernacle Béthel Israël (EDEN-TBI). Le cérémonial d’ouverture de ladite conférence a été ponctuée par des adorations, des chants.

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Du 30 octobre au 2 novembre 2024 au siège du Centre International d’Evangélisation (CIE), se tient la Conférence Internationale des Conquérants Vainqueurs (CICV). Cette conférence a été instituée par le pasteur Mamadou Philippe Karambiri en 2022, par ailleurs le fondateur délégué du CIE.

En cette année 2024, la CICV est à sa 3e édition. La CICV se veut un cadre de formation en leadership et transformation, d’équipement spirituel personnel, un cadre de pratique du ministère, de formation et de marche dans la puissance surnaturelle de Dieu. Il est prévu à cette édition au cours de la matinée et de la soirée des enseignements et des temps de ministère.

Pasteur Mamadou Philippe Karambiri

Cette 3e édition est placée sous le thème central « Gagner le combat spirituel par le revêtement de la puissance du Saint Esprit et le revêtement de toutes les armes de Dieu ».

Dans sa communication d’ouverture sous la thématique « Conquérant vainqueur le monde attend ta révélation », le pasteur Mamadou Philippe Karambiri a invité les fidèles à travailler de sorte à avoir une grande relation avec le Saint Esprit afin de venir à bout des défis spirituels. Ce dernier a déploré le fait que « chacun veut montrer qu’il est plus fort que l’autre, ça ne peut pas aller ». 

Lire également : Situation nationale : Les huit conseils du Pasteur Mamadou Philippe KARAMBIRI

C’est la raison pour laquelle il a, au regard de la situation du pays, appelé les fidèles et les Burkinabè à adopter des comportements qui concourent à la paix. « Les cultures sont bonnes mais si on prend ma culture pour mettre au-dessus de ta culture sa fruste.

On veut amener les gens pour qu’ils comprennent que chacun doit être partie prenante dans le pays dans la paix en respectant l’autre, en disant je suis ça mais sans toi aussi je ne peux pas marcher », a dit le pasteur Mamadou Philippe Karambiri.

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