Bonheur-ville/Ouaga : African Initiative, soucieuse du cadre de vie des populations

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L’Association russo-burkinabè « African Initiative », à travers son programme « opération ville propre », s’est attaquée aux ordures dans la zone non-lotie du quartier Bonheur-ville de  Ouagadougou. Elle était accompagnée des membres d’autres associations de la zone. 

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Aristide Sougrinooma Ouédraogo, président de l’ASPO, s’est réjoui de l’accompagnement de l’association russo-burkinabè

Aristide Sougrinooma Ouédraogo, président de l’Association solidarité professionnelle des ouvriers (ASPO), a inscrit cette opération de salubrité dans le cadre d’une initiative commune avec d’autres associations voisines.

Cette initiative, à l’en croire, est née du fait de l’insalubrité constatée dans leur environnement. « C’est après le constat de ce que notre quartier est insalubre et de ce que cette insalubrité peut avoir comme conséquences sur notre santé que nous avons fait appel à l’association russo-burkinabè », a-t-il indiqué.

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Il s’est aussi réjoui de l’accompagnement de l’association « African Initiative ». Et a prié que d’autres associations puissent bénéficier du même accompagnement de sorte à leur permettre de rendre leur environnement plus salubre.

Wendpanga Eric Bantré, président de l’Association jeunes unis Beog-neere (AJUB), a également félicité l’association russo-burkinabè pour son appui. Après leur passage, a-t-il laissé entendre, nous allons faire du porte à porte pour poursuivre la sensibilisation sur la nécessité de garder les lieux propres.

Martin Yaméogo, Coordonnateur du programme « opération ville propre » au niveau de l’association « African Initiative », a rappelé la nécessité de rester propre autour de soi peu importe le cadre de vie

Selon Martin Yaméogo, Coordonnateur du programme « opération ville propre » au niveau de l’association « African Initiative », au-delà de l’accompagnement financier et technique apporté, il s’est agi de faire également comprendre aux riverains que vivre dans un habitat spontané ne rime pas forcément avec le fait d’ignorer le sens de la salubrité.

« Nous avons saisi l’occasion pour faire savoir que ce n’est pas parce que l’on est dans une zone non-lotie qu’il faut cohabiter avec l’insalubrité », a-t-il déclaré.

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