Le FESPACO 2015 se tiendra à bonne date
Le ministre de la culture et du tourisme, Jean-Claude Dioma, installé dans ses fonctions, le mardi 16 décembre 2014, a indiqué que le FESPACO aura bel et bien lieu du 28 février au 7 mars 2015 sous le thème « Cinéma africain : production et diffusion à l’ère du numérique », comme prévu. Certains films censurés sous le régime de Blaise Compaoré pourraient être également pris en compte, a laissé entendre le ministre.
Les préparatifs de la 24e édition du FESPACO, malgré les derniers évènements politiques et la nomination d’un nouveau délégué général, « restent une continuité », rassure le ministre de la culture, Jean-Claude Dioma.
Confiance. Le nouveau ministre dit avoir confiance en l’ancien directeur de la cinémathèque, désormais nouveau DG du FESPACO, Ardiouma Soma. «Monsieur Soma n’est pas étranger à la maison du FESPACO, c’est d’ailleurs une des chevilles ouvrières des préparatifs», commente-t-il.
Cependant, des cinéastes demandent de revoir l’organisation du FESPACO. Ils souhaitent notamment de prendre en compte les films censurés sous le régime de Blaise Compaoré. Et Jean Claude Dioma de répondre que «toutes les propositions seront examinées et prises en compte si cela peut permettre de mieux l’organiser ».
Films censurés. « Le FESPACO, c’est pour les cinéastes, s’ils ne s’y retrouvent pas, s’ils ne sont pas contents d’y être, je crois que ce n’est pas une bonne chose. (…) Des messages autrefois censurés peuvent être bien accueillis aujourd’hui dans le contexte actuel», poursuit-il.
Les films censurés sous l’ancien régime sont les bienvenus a ajouté le ministre tout en précisant qu’ « on ne peut pas non plus se permettre de projeter tout genre d’image, surtout si cela porte préjudice à la population ».
Sauf si Ebola… Le 24e FESPACO aura donc lieu. Et même si modification il y a, la date, elle, ne saurait être repoussée. «N’oublions pas que nous travaillons avec des partenaires, si les dates ont été communiquées aux uns et aux autres qui se préparent en conséquence, il ne serait pas trop judicieux de chambouler tout cela», justifie Jean-Claude Dioma.
Sauf décision contraire des autorités pour des raisons telle la maladie Ebola, comme ce fut le cas avec le SIAO et le SITHO.
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Sacharia sawadogo qui ?tes vous? Es-tu vraiment fils de ce pays? Si Blaise a ?t? un atout pour toi il n’a ?t? pour plusieurs. Accepte la nouvelle page qu’a le Burkina. Essaye d’admettre. Je m’excuse au pr?s de toi mais je ne regrette rien. C’est le systeme qui m’a fait partir en exil.
VIVE LE BURKINA FASO!
vive la libert? de penser!
bon vent!
zida et ses revolitionaires ont coul? le faso pas de fespaso pas de tourisme dans un pays genofonbe
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personne ne va metre pier dans un pays divise par la haine il n’aura pas de fespaco
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#formidable