Burkina : Voici les prix plafonds des produits de grande consommation
Le Cadre de concertation Tripartite (CCT) est parvenu à trouver des prix consensuels à ne pas dépasser pour ce qui concerne les produits de grande consommation.
Le CCT est parvenu à des conclusions, selon un communiqué du ministère du commerce. Des prix plafonds ont été fixés pour différents produits.
En attendant, les prix des céréales ont été fixés comme suit :
- Maïs et au sorgho blancs : 15 500 francs CFA le sac de 100 kg comme en 2016.
- Petit mil : 19 000 francs CFA le sac de 100 kg.
- Riz 25% brisure : 16 000 francs CFA comme en 2016.
En ce qui concerne les huiles alimentaires, le prix plafond retenu est de 16 500 francs CFA le bidon de 20 litres et de 825 francs CFA le litre au détail.
Le prix du sucre granulé SN SOSUCO est plafonné 600 francs CFA le kg et le sucre en morceaux, à 750 francs CFA le kg
Le savon SN CITEC n° 1 sera vendu à 260 francs CFA maximum au consommateur et le Savon n°2 à 365 francs CFA.
« Pour le ciment CPJ, le CCT a obtenu le prix plafond de 5000 francs CFA le sac de 50 kg au consommateur final soit 100 000 francs CFA la tonne« , peut-on lire dans le communiqué.
Pour ce qui est du pain, dont la miche de 180 grammes a été supprimé au profit de celui de 200 grammes à 150 F CFA, les concertations continuent en commission, indique le ministère. Les résultats sont attendus « dans une semaine ».
Le ministre du commerce, en conseil des ministres, a par ailleurs affirmé que la « campagne de contrôle des prix des produits de grande consommation sera intensifiée sur toute l’étendue du territoire national et les contrevenants seront sanctionnés conformément à la loi« .
Lesaffairesbf
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Bonjour. Dans tous ça, moi ce qui m’écoeure, c’est que les commerçants en abusent des augmentations de prix. D’abord les boutiquiers sur tous les produits de première nécessité ils augmentent les prix de façon injustifiée. Ce qui veut dire qu’ils ne respectent pas les limites fixées.
Ensuite c’est ceux qui ajoutent de la valeur au pain Précisément les kiosques. Quant à eux, je n’arrive pas à comprendre que sur 1/4 de pain l’augmentation est de 5francs et que par conséquent il augmentent le 1/4de sandwich de 25francs sans pour autant que l’augmentation du prix du pain n’impacte aucunement sur la valeur qu’ils en ajoutent au pain. Donc pourquoi une hausse aussi considérable ???
Enfin j’invite les structures et organes chargés des régulation et contrôle des prix de première nécessité, a se mettre vraiment au travail et rien que le travail c’est à dire renforcer les contrôles et sanctionner réellement pour les dissuader. J’ai remarqué que les gens cherchent l’argent a tout prix peut importe.
Au Burkina à part le carburant joue le yoyo en matière de prix, les autres produits une fois augmentés ne baissent plus et ça par manque de controle ou de sanction aux contrevenants
merci a tout le monde pour ces efforts mai beaucoup reste à faire vu que jusque là il n’y a pas de changement notoire par rapport aux prix. avant on nous disait que l’implantation d’unité de production de ciment diminuera son cout. Surprise. Combien d’unité avons nous? cimat,cimfaso,cimaf,etc….comme elles appartiennent à nos gouvernants …… on en fait avec.tous ces prix consensuels se discutaient sur le marché.Rien de nouveaux.On peut encore mieux faire.
Merci déja.C’est un bon début.Seulement beaucoup reste à faire.
Au début il était dit que si le Burkina arrivait à implanter des usines de production de ciment ,ce produit pourrait être vendu à prix abordable c-a-d moins de 5 000Frs.Présentement les prix du sucre,du riz,du savon sur marché n’ont rien changé.faites encore un éffort.
Merci beaucoup les gouvernements pour ce travail mais essaye encore de diminuer le prix de ciment
Bsr merci au gouvernement mai ci li peu encore diminuer le prix de ciment