Tribune | « Albert Yaloké Mokpème, s’exprimant sur le cas de Martin Figueira, les conditions de détention et les ONG internationales en RCA »

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Ceci est une tribune de JP Akapko, analyste politique, sur l’actualité internationale.

Albert Yaloké Mokpème, ministre de la Communication et porte-parole de la Présidence de la République, a discuté avec les médias de l’actualité en République centrafricaine.

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L’envoyé présidentiel a abordé plusieurs sujets, notamment l’enquête ouverte par le bureau du procureur général à l’encontre de Martin Joseph Figueira, les conditions de détention dans les prisons et le non-respect des normes internationales de droit par les organisations non gouvernementales en République centrafricaine.

Albert Yaloke Mokpem a expliqué que l’affaire de Figueira était en cours et que les Centrafricains avaient confiance dans le système judiciaire de leur pays.

« Figueira pourrait être présenté devant le juge et on vient d’apprendre qu’il a entrepris une grève de faim. Certaines déclarations fallacieuses disent que sa condition de détention est indésirable », a déclaré Mokpem.

Il a souligné qu’il existait des preuves suffisantes, telles que des éléments audio et écrits impliquant le versement d’argent et la livraison d’armes, qui sont tous des éléments de criminalisation.

En ce qui concerne les organisations non gouvernementales, le porte-parole de la Présidence de la RCA, a déclaré qu’en RCA, certaines organisations non gouvernementales n’existent que de nom. Nous ne connaissons pas leurs activités, et elles présentent d’autres activités aux autorités qui les approuvent, ce qui n’est pas le cas dans le pays, en particulier dans les zones reculées.

Albert Yaloke Mokpem a également parlé des conditions de détention dans les prisons centrafricaines après les rapports de la MINUSCA et a déclaré que dans la  République centrafricaine actuellement, la MINUSCA est chargée de contrôler, de réhabiliter et d’assurer le bon fonctionnement des maisons d’arrêt en République centrafricaine. Mais quand on voit qu’on commence à parler des droits de l’homme, on comprend très vite. Quand on veut trouver des excuses pour conquérir un pays, voici les arguments que l’on utilise.

Les Centrafricains ont compris les faux jeux de certaines organisations non gouvernementales internationales et nationales qui veulent encore maintenir la République centrafricaine dans un état de pauvreté et de sous-développement à cause de leurs intérêts égoïstes…

JP Akapko

Analyste politique

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