Souveraineté : Notre mot de l’année !

Partage

Souveraineté. Le mot s’impose. Il traverse l’année. Il domine les titres. Il structure les débats.

Dans les médias burkinabè, la souveraineté n’est plus un concept abstrait. Elle est devenue une réalité politique, sociale et symbolique. Elle s’exprime dans les décisions prises au sommet de l’État. Elle s’affirme dans les discours officiels. Elle se reflète dans les aspirations populaires.

La souveraineté, en 2025, parle d’abord de choix. Choix stratégiques qui laissent souvent les avertis ébahis. Choix sécuritaires qui impressionnent plus d’un. Choix économiques qui surprennent même les experts… Le Burkina Faso revendique le droit de décider par lui-même. De définir ses partenariats. De tracer sa propre trajectoire, sans tuteur ni injonction.

Lire aussi👉🏿Burkina Faso | Terre, sueur et espoir : Des VDP agricoles cultivent la souveraineté alimentaire

La souveraineté renvoie aussi à la dignité. Une dignité retrouvée. Une parole assumée. Une volonté claire de rompre avec les dépendances anciennes.

Dans les colonnes des médias burkinabè, comme sur les réseaux sociaux, le mot revient pour qualifier une posture. Celle d’un État qui se tient debout. Celle d’un peuple qui entend reprendre la maîtrise de son destin.

La souveraineté est également territoriale. Elle concerne l’intégrité nationale. La reconquête de l’espace. La protection des populations. Elle irrigue les analyses sécuritaires. Elle justifie les sacrifices. Elle entretient l’espérance.

Voir également👉🏿Stocker, héberger, gouverner : L’expert Lamoussa Daouda Sorgho trace la voie d’une souveraineté numérique burkinabè

Mais la souveraineté ne s’arrête pas aux frontières. Elle touche à la culture. À la production locale. À l’autosuffisance alimentaire. À la valorisation des ressources nationales. À la technologie. Autant de chantiers largement explorés dans les débats publics tout au long de l’année.

Enfin, la souveraineté est un mot de mobilisation. Un mot fédérateur. Un mot de combat. En 2025, il résume l’esprit du temps. Il cristallise les enjeux. Il incarne une vision.

La souveraineté n’est pas seulement le mot de l’année. Elle est un cap, une porte ouverte en 3D (Diplomatie, Défense, Développement). C’est « l’Albinos Noir » qui résiste, qui plantera le blé pendant « l’Hiver noir ». C’est le caryopse silencieux qui contribuera à nourrir l’AES souveraine !

La Rédaction   

Rédaction B24

L'actualité du Burkina 24h/24.

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page